L’horlogerie traditionnelle a du mal à se bouger les neurones alors qu’elle perd régulièrement des soutiens, tant du côté des jeunes générations que des seniors, plus « accros » à la montre connectée de santé qu’à l’icône statutaire – on parle ici des montres qu’on porte, pas de celles qui servent à spéculer. Pour ce qui est des jeunes générations, on pourrait profiter de la prochaine rentrée des classes pour reprendre des bonnes habitudes…

79e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : De Bethune, Junghans, Mido, Oris, Panerai, Perrelet et TAG Heuer…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’irremplaçable Pierre Desproges (1939-1988) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

78e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Cuervo y Sobrinos, Nivada Grenchen, Raymond Weil, Seiko, Ulysse Nardin et Venezianico…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au toujours grand Charles Perrault (1628-1703) pour la citation de son panégyrique poétique « Le siècle de Louis le Grand » (1687) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Faut-il croire Miss Tweed quand elle nous annonce que le groupe Richemont est à bout touchant dans ses négociations avec la plateforme de luxe Farfetch qui lui cèderait un vague strapontin en échange de YNAP ? Elle n’est sans doute pas très loin de la vérité : c’est qu’il y a urgence ! YNAP, c’est le symbole des impasses stratégiques du groupe Richemont en même temps que son talon d’Achille face aux prédateurs des fonds activistes…

Ce n’était pas sans raison que nous écrivions qu’Emmanuel Macron « jouait du poignet avec une palette tricolore » : sa nouvelle montre porte effectivement un drapeau tricolore à six heures !

Même quand il ne tombe pas la veste ou qu’il ne se coiffe pas d’un béret, Emmanuel Macron adore soigner sa parure pour en faire un élément de langage consistant. Il faut au président français des montres françaises : heureusement, il a le choix. Et, en plus, il a bon goût…

77e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Casio G-Shock, Charriol, Eberhard & Co, Hublot, Memorigin, Panerai et Roger Dubuis…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’excellent Francis Cabrel pour la citation de « Encore et encore » (1985) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Le présidentiel poignet du maître de (presque) toutes les Russies s’est adapté aux contre-sanctions édictées par le Kremlin contre une coalition occidentale qui semble clairement plus sanctionnée que sanctionneuse…

Mais aussi une plongeuse chic dans sa livrée noire, une nouvelle architecture à moins de mille mètres d’altitude, quelques nuances de bleu qui se règlent au couteau, une rétronostalgie digitale, une fusée dans un musée et un tourbillon en apesanteur… Images ci-dessous : le cosmos a un rendez-vous météoritique avec le temps (De Bethune)…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immense Charles de Gaulle (1890-1970) pour la citation tirée de son « Fil de l’épée » (1932) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

76e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières informations de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept initiatives de sept marques : Doxa, Jacob & Co, Nomos Glashütte, Pinet Montrivel, Raketa, Tudor et Zenith…

La récente séquence d’enchères horlogères de Monaco (Antiquorum) était la première démonstration publique du dégonflement spectaculaire de la bulle spéculative sur le marché de la seconde main. C’était aussi la première vente de l’après-bulle – celle qui trace de nouvelles perspectives pour les montres de collection…