TAG Heuer, première marque horlogère suisse à avoir atteint l’espace en orbite terrestre, renoue avec sa tradition pionnière dans l’épopée spatiale : son nouveau partenariat officiel avec la NSA (National Space Administration) chinoise lui ouvre les portes de la (re)conquête lunaire et de l’exploration de Mars. L’aventure horlogère continue avec la future conquête du système solaire…

Bricolée à la hâte dans un contexte de guerre froide avec l’URSS, la conquête spatiale a coûté tellement d’argent aux Etats-Unis qu’ils ont renoncé, voici quarante ans, à toute incursion sur la Lune. La Chine de Xi Jinping ayant besoin d’affirmer aux yeux du monde sa nouvelle identité géopolitique, voici relancée la course à la Lune. Toujours avec une montre suisse au poignet, mais pas une Omega : encore un ratage stratégique majeur de Nick Hayek ?

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne vingtaine d’années (1996-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou sont fantômisées. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions esthétiques (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une troisième tranche de belles affiches horlogères…

Les nouveautés qui arrivent sur le marché, qui sont déjà en vitrine ou qui le seront bientôt. Des montres vues du côté des marques, commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare. Sept montres cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bvlgari, Fossil, Franck Muller, MeisterSinger, Mido, Movado et Ralph Lauren…

Suite de notre exploration des objets du temps dans l’illustration populaire contemporaine. Nouvel exemple avec quelques couvertures d’un autre fameux roman d’Agatha Christie, « The Seven Dials Mystery » (1929) – en français, « Les sept cadrans ». Un premier choix de couvertures internationales qui s’explique par l’abondance des références aux objets du temps dans les titres comme dans les intrigues des romans de cette « reine du mystère ». L’imagination des graphistes est sans limites. Originale et visuellement très forte, une telle compilation « horlo-culturelle » n’avait encore jamais été tentée dans les médias horlogers (il est vrai qu’il n’y a pas de publicités, ni d’annonceurs à la clé)…

C’est l’heure du Götterdämmerung pour les forces maléfiques de l’Empire qui veulent écraser définitivement les résistants de la Rébellion. Chaque minute compte et ce coucou intergalactique les décompte inexorablement, en reprenant le thème du générique de « Star Wars » à chaque changement d’heure…

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne vingtaine d’années (1996-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou sont fantômisées. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

C’est déjà la rentrée : on range les parasols et les jeux de société qui ont occupé les journées pluvieuses. Autant terminer sur une note amusante, puisque nous ne ramasserons pas les copies après les vingt-quatre tests de la saison 2016 : un double tour du cadran, avec six questions par heure, soit un interrogatoire très pressant à raison d’une question toutes les dix minutes pendant une journée complète. Une performance qui n’avait encore jamais été tentée par un média horloger : les perroquets en ont eu le bec cloué de stupeur !

Comme seulement 7 questions sur les 120 de notre test culturel de l’été (dérivé d’un célèbre jeu de questions-réponses adapté à l’univers des montres par la Fondation de la Haute Horlogerie) concernaient des jeunes marques de créateurs indépendants, nous terminons notre série par quatre séquences plutôt orientées vers la haute horlogerie non alignée ou passée sous le radar de la FHH. Six nouvelles questions portant sur différents domaines, identiques à ceux de la FHH (technique, histoire, collection, marque, décoration, matière). Les (bonnes) réponses seront données dans l’épisode suivant, mais on ne ramassera pas les copies en fin d’été : à chacun de méditer en conscience sur son génie comme sur sa nullité…

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne vingtaine d’années (1996-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou sont fantômisées. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne vingtaine d’années (1996-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou sont fantômisées. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

Comme seulement 7 questions sur les 120 de notre test culturel de l’été (dérivé d’un célèbre jeu de questions-réponses adapté à l’univers des montres par la Fondation de la Haute Horlogerie) concernaient des jeunes marques de créateurs indépendants, nous terminons notre série par quatre séquences plutôt orientées vers la haute horlogerie non alignée ou passée sous le radar de la FHH. Six nouvelles questions portant sur différents domaines, identiques à ceux de la FHH (technique, histoire, collection, marque, décoration, matière). Les (bonnes) réponses seront données dans l’épisode suivant, mais on ne ramassera pas les copies en fin d’été : à chacun de méditer en conscience sur son génie comme sur sa nullité…

Comme seulement 7 questions sur les 120 de notre test culturel de l’été (dérivé d’un célèbre jeu de questions-réponses adapté à l’univers des montres par la Fondation de la Haute Horlogerie) concernaient des jeunes marques de créateurs indépendants, nous terminons notre série par quatre séquences plutôt orientées vers la haute horlogerie non alignée ou passée sous le radar de la FHH. Six nouvelles questions portant sur différents domaines, identiques à ceux de la FHH (technique, histoire, collection, marque, décoration, matière). Les (bonnes) réponses seront données dans l’épisode suivant, mais on ne ramassera pas les copies en fin d’été : à chacun de méditer en conscience sur son génie comme sur sa nullité…

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne vingtaine d’années (1996-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou sont fantômisées. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.