C’est bizarre, ce haro sur Jean-Claude Biver : pendant Baselworld, Thierry Stern (Patek Philippe) n’a pas cessé de lui casser du sucre sur le dos, en lui reprochant d’avoir des prix trop bas. Ensuite, c’est Peter Stas (Frederique Constant) qui l’a accusé d’avoir des prix trop hauts. Il se fait même tacler par d’autres patrons du groupe LVMH. Quelles sont les raisons de ce « Biver bashing » de printemps ?

Comme il est difficile de choisir les montres les plus représentatives de la saison, soit par leur créativité, soit par leur positionnement, soit par leur capacité rupturiste. Trente montres, c’est 1 % des nouveautés présentées à Baselworld et 5 % des marques représentées. Il faudrait y ajouter les montres dont nous avons déjà parlé (Artya, Corum, Haldimann, etc.) et les montres dont nous ne pouvons pas encore parler (MB&F, HYT, Hublot, TAG Heuer, etc.). Nous y reviendrons en temps utile (à suivre : les montres qui ont raté leur place dans cette sélection et pourquoi elles ont été coiffées sur le fil, ainsi que les marques qui nous ont beaucoup amusé)…

Quand les planètes s’alignent favorablement pour une marque, tout peut lui réussir et elle paraît tout réussir. Avec un bilan commercial plus que satisfaisant à l’issue de cette édition de Baselworld 2016, Girard-Perregaux s’apprête à lancer une nouvelle campagne de communication, non moins réussie que les nouvelles collections ou la remise en ordre de bataille de la manufacture. Décodage rapide de cette initiative, qui est à ce jour (et toutes proportions gardées) la plus créative de ces derniers mois dans le paysage de la haute horlogerie…

Comme dans toute bataille, il faut bien qu’il y ait des perdants s’il y a des gagnants (liste non exhaustive). Même si tout le monde a relativement bien travaillé à Baselworld, certains ont mieux tiré que d’autres leur épingle d’un jeu très difficile cette année. C’est au premier grain, quand la tempête arrive, qu’on distingue les vrais barreurs des plaisanciers de beau temps (à relire : les grands gagnants).

Mais aussi la partition mécanique d’un oiseau qui chante pour les nababs, la provocation d’un inconnu qui vient tirer la barbe de Swatch et la gueule de bois persistante de l’horlogerie suisse ! Ci-dessous : Un oiseau aux plumes métalliques qui chante la prodigieuse virtuosité des mécaniques suisses…

Comme dans toute bataille, il faut bien qu’il y ait des perdants s’il y a des gagnants (liste non exhaustive). Même si tout le monde a relativement bien travaillé à Baselworld, certains ont mieux tiré que d’autres leur épingle d’un jeu très difficile cette année. C’est au premier grain, quand la tempête arrive, qu’on distingue les vrais barreurs des plaisanciers de beau temps (à suivre : les grands perdants).

À part quelques autruches (malgré tout encore assez nombreuses), tout le petit monde de l’industrie suisse s’accorde désormais à penser que les montres connectées ont et auront une certaine importance dans notre écosystème horloger. Le débat est au moins ouvert, même au Swatch Group qui a lancé Tissot en contre-attaque. Baselworld était l’occasion de faire le point sur les tendances en cours, les impasses stratégiques, les initiatives intelligentes et les nouveaux dangers qui menacent les montres traditionnelles…

Comme dans toute bataille, il faut bien qu’il y ait des perdants s’il y a des gagnants (liste non exhaustive). Même si tout le monde a relativement bien travaillé à Baselworld, certains ont mieux tiré que d’autres leur épingle d’un jeu très difficile cette année. C’est au premier grain, quand la tempête arrive, qu’on distingue les vrais barreurs des plaisanciers de beau temps (à suivre : les grands perdants).

L’actualité horlogère vue par « Business Montres », comme toutes les semaines, le samedi midi sur France Bleu Besançon. Au programme de cette chronique, qui commence à la minute 04:15 du lecteur ci-dessous : en direct de Baselworld, qui a vécu le salon horloger le plus « normal » de ces dix dernières années…

Douze et même treize à la douzaine, comme c’est d’usage pour les bons clients. Baselworld commence à faire les premiers bilans, qui s’avèrent moins pires que prévus, même s’ils ne sont pas aussi glorieux qu’espérés. Pour l’instant, malgré une conjoncture plus que maussade, le front horloger résiste : les marques sont globalement « déçues en bien » (comme on dit dans le canton de Vaud) tellement elles s’attendaient à des rebuffades du côté des détaillants.

INTERVIEW L’éditeur de « Business Montres », Grégory Pons, décrypte les enjeux du salon international de l’horlogerie, le plus grand du monde, ouvert depuis hier pour une semaine.

Différents styles et différents prix, mais l’originalité est dans la proposition, ici et maintenant, d’une offre « créative et accessible » – ce qui n’est pas une question de prix, mais de consistance (par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bvlgari, Haldimann, Patek Philippe, Silvana, TAG Heuer). Une sélection sur la base des montres qui étaient connues avant Baselworld...

Baselworld, c’est pour demain et on veut bien parier pour un départ en fanfare avant de tout le monde commence à déchanter, mardi prochain, quand tomberont les résultats des exportations horlogères de février (voir l’image ci-dessous : l’horlogerie n’est plus ce qu’elle était). En attendant, pour garder le moral et ne pas désespérer les vallées, une dizaine de montres qui méritent le détour et quelques nouvelles du front…

L’actualité horlogère vue par « Business Montres », comme toutes les semaines, le samedi midi sur France Bleu Besançon. Au programme de cette chronique, qui commence à la minute 05:00 du lecteur ci-dessous : comment la plus parisienne des marques franc-comtoises est en train de se ressourcer sur le marché français…

À l’avant-veille de Baselworld, il reste encore quelques bonnes histoires à raconter sans tomber dans le copié-collé des dossiers de presse. Par exemple, regardez du côté de chez Hublot comment on peut mettre le feu aux poudres en jouant la transparence. Demandez-vous pourquoi on ne trouve pas plus d’abeilles sur les cadrans. Et tentez de convaincre la plus délicieusement miniaturisée des journalistes asiatiques que « seule la taille compte »…