• REPÉRAGES #195-2024 (accès libre)
    Sept sportives très chic qui rivalisent d’ambitions pour s’imposer à la finale du GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 194e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Czapek, Gérald Charles, Hublot, IWC, Milus, Ming et Nukumi…

  • PICTOCHRONIQUES #152
    « À voir ce qu’on fut sur la terre et ce qu’on laisse / Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse »

    152e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand et fier écrivain français Alfred de Vigny (1797-1863) pour la citation de ses « Destinées » (« La mort du loup », 1864) qui compose le titre de cette pictochronique (citation reprise d’un hommage de Brigitte Bardot à Alain Delon). C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #194-2024 (accès libre)
    Sept montres très sportives qui entendent bien monter sur le podium du GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 193e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bianchet, Breitling, Bremont, Bvlgari, Byrne, Carl Suchy & Söhne et Charriol…

  • SÉANCE DE RATTRAPAGE semaine 33-2024 (accès libre)
    Une compilation estivale avant la rentrée en grande crise horlogère qui nous attend

    Pour l’industrie des montres, le second semestre 2024 se vit dans un état de santé économique plus que chancelant. Le millésime 2024 prend plaisir à chambouler tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

  • REPÉRAGES #193-2024 (accès libre)
    Sept montres qui attendent le GPHG 2024 pour démontrer leurs performances chronographiques et leur esprit sportif

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 192e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, Bamford x Bremont, Massena Lab x Sylvain Pinaud, Parmigiani Fleurier, Raymond Weil, TAG Heuer et Zenith…

  • RÉTROPÉDALAGE #10 (accès libre)
    « Il n’y a pas plus sacré que nos sacrées vacances horlogères »

    Ce week-end, nous en aurons fini avec les sacro-saintes « vacances horlogères », originalité pré-industrielle d’une industrie des montres qui sait préserver ses privilèges, – même les plus aberrants. « Business Montres » s’intéresse depuis des années à ces « vacances horlogères » (compilation de nos précédentes pictofictions)…

  • PICTOCHRONIQUES #151
    « Souvent, en affaires, les canailles volent moins d'argent que les honnêtes gens ne vous en coûtent »

    151e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand dramaturge et ironiste français Sacha Guitry (1885-1957) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #192-2024 (accès libre)
    Sept chronographes mécaniques qui vont devoir s’affronter pour le GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 191e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Cyrus, Dior Montres, Gérald Charles, IWC Schaffhausen, Kerbedanz, Louis Moinet et Louis Vuitton…

  • REPÉRAGES #191-2024 (accès libre)
    Sept montres qui chronographient et qui conceptualisent le temps en vue du GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 191e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Angelus, Atelier Neo Kung, Bamford x seconde/seconde, Breitling, Piaget, Ulysse Nardin et Zbioland…

  • PICTOCHRONIQUES #150
    « Tout ce qui est intéressant se passe dans l’ombre : on ne sait rien de la véritable histoire des hommes »

    150e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense écrivain et polémiste français Louis-Ferdinand Céline (1894-1961) pour la citation de son « Voyage au bout de la nuit » (1932) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #190-2024 (accès libre)
    Sept montres qui jouent dans un registre d’exception mécanique pour briller au GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 190e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bvlgari, Gucci, Haute Rive, Hermès, Hublot, Kross Studio et MB&F…

  • REPÉRAGES #189-2024 (accès libre)
    Sept montres qui exhibent leurs atouts mécaniques exceptionnels pour s’affronter au GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 189e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Behrens, Bernhard Lederer, Bovet 1822, Laurent Ferrier, Parmigiani Fleurier, Skill et Y-WSL…

  • REPÉRAGES #188-2024 (accès libre)
    Sept montres qui mêlent tourbillons et complications mécaniques pour se faire une place au GPHG 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 188e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Anton Souhanov, Frederique Constant, H. Moser & Cie., IWC, TAG Heuer, Vanguart et Voutilainen…

  • PICTOCHRONIQUES #149
    « Nous ne voulons plus travailler au spectacle de la fin du monde, mais à la fin du monde du spectacle »

    149e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain, cinéaste et théoricien situationniste français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de sa « Société du spectacle » (1967) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

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