Vieux dragons pour vieilles marques, mais nouvelles lunes pour les jeunes marques qui secouent le cocotier de l’horlogerie mécanique : ça valait bien quelques fusées sur les grandes capitales occidentales…

Soixante-troisième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense moraliste contemporain Emil Michel Cioran (1911-1995) pour la citation de son « Inconvénient d’être né » (1973) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dix-huitième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Breguet, Eska, Hegid, Hermès, Louis Pion, Montblanc et Swatch…

Comment un dirigeant, aveuglé par un succès dont il n’est pas vraiment responsable tellement l'économie des montres est porteuse, peut-il à ce point se couper des réalités de son marché ? Réponse : en s’entourant d’administrateurs aussi nuls qu’incapables de lui tenir tête ! Si des têtes doivent tomber, à commencer par celle de Brian Duffy, il faudra aussi « nettoyer » le conseil d’administration.

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de chaises musicales, de douaniers fouineurs, de gagnants et de perdants, de légendes sur orbite, de réimportations et d’un plantage qui n’intéresse plus personne – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Dix-septième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Beauregard, Breguet, Franck Muller, Maurice de Mauriac, Montblanc, Seiko et Studio Underd0g…

Soixante-deuxième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense et irremplaçable écrivain français Georges Bernanos (1888-1948) pour la citation de sa « France contre les robots » (1947) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Seizième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – B.R.M., Festina, Lotus, Obaku, Omega, Sinn et Ulysse Nardin…

Le premier semestre commence en douceur, alors que se profile un millésime 2024 qui devrait chambouler tout le paysage horloger ! Ce sera sans doute l’année de tous les dangers, entre les guerres (Ukraine, Proche-Orient, etc.) et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde – particulièrement sur les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Quinzième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Avi-8, Balmont, Herbelin, Junghans, Panerai, Ulysse Nardin et Undone…

Plus qu’un simple coup de froid (pour les actionnaires) ou un banal coup de chaud (pour la direction), le choc boursier qui vient de bousculer Watches of Switzerland est un sérieux avertissement pour toute l’industrie des montres, qui se voit rappeler quelques vérités élémentaires…

Soixante-et-unième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au philologue allemand Victor Klemperer (1881-1960) pour la citation de sa « Lingua Tertii Imperii » (« La Langue du Troisième Reich », 1947) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi un accès pas forcément accessible au paradis des hautes mécaniques, un style vintage très générationnel, le retour très expressif d’une légende aux gros muscles, le chrono sans chrono à la française, le plongeon de la seconde main et une saint-valentin pas trop mièvre… Images ci-dessous : un nouveau style de « plongeuse » en prise directe sur le passé (Eska)...

Quatorzième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Fossil, Genus, Grand Seiko, Jacob & Co, Jaeger-LeCoultre, Memorigin et Tsao Baltimore…

Qui se souvient encore de Roger Tallon, un des plus grands designers français du XXe siècle ? Heureusement, la nouvelle équipe de Lip a de la mémoire. Voir réapparaître la Lip Mythic est une jolie surprise. Pouvoir la porter pendant quelques jours est un privilège. On vous raconte…