En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 116e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : B.R.M. Chronographes, Chanel, Franck Muller, Greco Genève, Hamilton, Parmigiani Fleurier et Patek Philippe…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une diagonale pour ceux qui maîtrisent les échecs, de montres qu’on revend, d’un boulet fatal, de marteaux qui valsent, de successions à prévoir et de huit postes de direction à pourvoir d’urgence – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Désastre statistique à l’appui, le premier trimestre 2024 s’est terminé sur un mode très mineur – du moins, pour ce qui est de la santé économique globale de l’industrie des montres. Le millésime 2024 qui se dessine chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Au cœur des montagnes jurassiennes, dissimulé dans le village horloger de Tramelan, se trouve un lieu où s’exerce une véritable tradition en haute horlogerie : l’atelier de gravure de la maison Bovet.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 115e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Byrne, Chanel, Nivada Grenchen, Parmigiani Fleurier, Pequignet, Ralph Lauren et Roger Dubuis…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 114e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Apollo, Bremont, Chanel, Czapek, Sea-Gull, Tissot et Yonger & Bresson…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler des vrais enjeux de la nomination de Nicolas Bos à la place de Jérôme Lambert, des personnalités « ghostées » par l’état-major, des tractations en coulisses, de la nouvelle stratégie joaillière du groupe, du bras d’honneur à tous les principes de gouvernance et de la suite annoncée des chaises musicales – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

112e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au toujours regretté et jamais remplacé Antoine Blondin (1922-1991) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une cathédrale qui carillonne au poignet, des cubes qui changent le style d’un cadran, une « plongeuse » restylée, des enchères médiocres et une règle à calcul circulaire… Images ci-dessous : l’esprit rétro-contemporain d’une montre de plongée à la française (Yema)…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de météorite géante, de valeur d’usage et de valeur d’échange, du management de l’excellence, d’un grand voyou et de « Picsou Magazine » – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 113e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Borealis, Bvlgari, Chanel, Citizen, Roger Dubuis, Stowa et Yonger & Bresson…

111e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’inoubliable humoriste Pierre Desproges (1939-1988) pour la citation de ses « Fonds de tiroir » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 112e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bremont, Bvlgari, Chanel, Perrelet, Roger Dubuis, Unimatic et Yonger & Bresson…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 111e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bremont, Bvlgari, Chanel, Cvstos, TAG Heuer, Unimatic et Yema…

110e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand humoriste irremplaçable Raymond Devos (1922-2006) pour la citation d’un de ses textes qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…