Désastre statistique à l’appui, le premier trimestre 2024 s’est terminé sur un mode très mineur – du moins, pour ce qui est de la santé économique globale de l’industrie des montres. Le millésime 2024 qui se dessine chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 122e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Ba111od x Label Noir, Beaubleu, Chanel, Coros, Diesel, Hysek et TAG Heuer…

Personne ne l’avait vu venir, sauf peut-être l’actionnaire, qui est un grand affectif. Nicolas Bos incarne-t-il une vraie nouvelle séquence dans la vie du groupe Richemont ou n’est-il qu’un nouvel épisode de sa descente aux enfers ?

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 121e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bianchet, Chanel, Club Pecqueur Motorists, Hysek, Patek Philippe, REC et TAG Heuer…

115e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’irremplaçable Jean-Paul Belmondo pour l’extrait d’un dialogue du « Guignolo (un film de Georges Lautner, 1980) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 120e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Briston, Chanel, Cvstos, F.P. Journe, Hysek, Ming et Solar Aqua…

Mais aussi une plongeuse qui compte pour trois, un « retour en vol » pour les amateurs japonais, une élégance urbaine par mille mètres de profondeur et une fée verte américaine… Images ci-dessous : le bronze nautique d’un choc esthétique (Nivada Grenchen)…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 119e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Chanel, Franck Muller, Hysek, Jacques Bianchi Marseille, Louis Moinet, Mido et Rolex…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une noyade en mode champagne, d’un ange exterminateur en état de rage avancée, d’une sale histoire pour Audemars Piguet et d’un serial copieur – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

114e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand et irremplaçable comédien français Lino Ventura (1919-1987) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique (l’attribution à Lino Ventura est contestée). C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 118e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Chanel, Chopard, Code41, Franck Muller, Genius, Isotope x Revolution et Massena Lab x Raúl Pagès…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une âme horlogère suisse, d’une version française, du terrorisme managérial d’un actionnaire, de la définition d’un comptable et d’un rachat qui risque de traîner – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 117e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arilus, Bvlgari, Chanel, Franck Muller, Greco Genève, Jaeger-LeCoultre et Kollokium…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler du premier assis dans la partie de chaises musicales engagée chez Richemont, d’un choc d’autorité, de questions sur l’avenir de Watches & Wonders et de licenciements – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

113e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain français et « argotologue » Alphonse Boudard (1925-2000) pour la citation de son « Café du pauvre » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…