Le premier semestre commence en douceur, alors que se dessine un millésime 2024 qui devrait chambouler tout le paysage horloger ! Ce sera l’année de tous les dangers, entre les guerres (Ukraine, Proche-Orient, etc.) et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde – particulièrement sur les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Trentième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Bremont, Bvlgari, Casio G-Shock, Hermès, Longines, Louis Érard et Piaget…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un permis de détourner, d’icônes démonétisées, de socquettes couronnées, d’une divinité dévoyée, des prochains noms sur la « liste de Rebellion », de Baudelaire et de marée basse – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Vingt-neuvième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : ArtyA, Ball, Jacob & Co, Jaquet Droz, Maurice de Mauriac, Mondaine et Zenith…

70e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand écrivain, philosophe et poète américain Henry David Thoreau (1817-1863) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi un grande simplicité sportive, une surfeuse bronzée, une inspiration automobile, un abus de dragons et une grand prix qui en dit long… Images ci-dessous : trois « bâtons » qui offrent une vision mentale et polysémique du temps (Louis Érard)...

Vingt-huitième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Depancel, Hermès, Hublot, Louis Vuitton, March LA.B, Montblanc et Grand Seiko…

Soixante-neuvième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense Michel Audiard (1920-1985) pour la citation d’un dialogue de son « Singe en hiver » (1962) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Vingt-septième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Daniel Roth, Franck Muller, Hermès, Montblanc, Grand Seiko, Venezianico et Watchmakers United…

Vingt-sixième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Baltic, Bremont, Bvlgari, Hermès, Mido, Undone et Urwerk…

Soixante-huitième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand philosophe danois Sören Kierkegaard (1813-1855) pour la citation de son « Journal » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Le premier semestre commence en douceur, alors que se dessine un millésime 2024 qui devrait chambouler tout le paysage horloger ! Ce sera l’année de tous les dangers, entre les guerres (Ukraine, Proche-Orient, etc.) et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde – particulièrement sur les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Vingt-cinquième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Longines, Montblanc, Nomos Glashütte, Roberto Coin, Sinn, Skagen et Swatch…

Vingt-quatrième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Biver, Hublot, Ikepod, Piaget, Raymond Weil, Sinn et Skagen…

Soixante-septième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand poète allemand Friedrich Hölderlin (1770-1843) pour la citation de son « Hyperion » (1797) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…