En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 143e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arnold & Son, Code41, Garrick, Lip, Longines, Maurice Lacroix et Panerai…

C’est une vraie surprise de retrouver une montre oubliée depuis vingt ans. C’est un plaisir de la faire remettre à neuf. C’est un bonheur de lui trouver encore plus de charme quand on se remet à la porter…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une incroyable inertie judiciaire, d’un printemps difficile pour des marques suisses qui ne survivent que par leur haut de gamme, alors que le monde entier plébiscite la qualité horlogère suisse, de chaises musicales, d’une Rolex pas ruminée et de ténèbres genevoises – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 142e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bell & Ross, Code41, Moëls, Omega, Solar Aqua, Swatch et TAG Heuer…

126e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand philosophe français Blaise Pascal (1623-1662) pour la citation de ses « Pensées sur la religion » (1670) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 141e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Citizen, Code41, De Bethune, Hublot, IWC, Serica et Swatch…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 140e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Casio, Certina, Exaequo, Rado, Roger Dubuis, Swatch et Yema…

125e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense et jamais remplacé acteur et dramaturge français Sacha Guitry (1887-1955) pour la citation de son « J’écris, donc je suis » (1950) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une relance de la « guerre du lume », du génie des alpages (celui qui pilote si brillamment le Swatch Group), d’un groupe qui fuit la Chine, la queue basse et d’un régulateur qui nous prouve que le marché est totalement irrationnel – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 139e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Breitling, Casio, Frederique Constant, Memorigin, Panerai, Pequignet et Swatch…

Vous savez quoi ? Les ravis de la crèche des états-majors horlogers, de même que les gobe-mouches des médias perroquets, ont fini par comprendre qu’il y avait peut-être un méga-problème avec le marché chinois. Comme cela fait plusieurs années que nous tirons – en vain ! – le signal d’alarme à propos de la Chine, nous en déduirons que, effectivement, l’onanisme marketing rend sourd ! Histoire de vérifier que ça ne rend pas aveugle, remettons quelques images sous le nez de tous les idiots du village…

Le premier semestre 2024 s'approche à grands pas, mais sur un mode très hésitant – du moins, pour ce qui est de la santé économique globale de l’industrie des montres. Le millésime 2024 qui se dessine chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 138e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Airain, Alpiner, Bausele, Breitling, Casio, Ikepod et Swatch…

124e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au chanteur français Alain Souchon pour la citation de son « Poulailler’s Song » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler des chaises musicales dans la vallée de Joux, d’un hamburger texan à la sauce curry, de la révolution des lumières et de la couleur, des silences troublants chez les médias perroquets et de l’art de balayer la poussière sous le tapis – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…