138e épisode de notre présentation des montres de l’année en cours : ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Awake, Breitling, Gucci, Lang 1943, March LA.B, Marnaut et Yema…

Le second semestre vit ses premiers jours, confirmant que le millésime 2023 – quelle année de transition ! – sera probablement celui de tous les dangers. Entre la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (particulièrement sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Cinquième séquence Only Watch et 137e épisode de notre présentation des montres de l’année en cours. Ces montres – des pièces uniques qui seront dispersées aux enchères par Christie’s en novembre – sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept nouvelles pièces uniques de sept marques : Baltic, Chopard, Gérald Genta, Girard-Perregaux, Ludovic Ballouard x Britanny Nicole Cox, Tiffany & Co et Zenith…

Le Sniper revient pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va ainsi vous parler, entre autres, des marques qui en ont trop fait, ou pas assez, pour Only Watch, de l’or qui a disparu chez Tissot, d’un tableau que Bernard Arnault n’a pas vu, des « fourgons maudits » de l’or russe ou d’une grosse colère du président de Cartier – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand écrivain Georges Bernanos (1888-1948) pour la citation de son « Chemin de croix des âmes » (1948) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

136e épisode de notre présentation des montres de l’année en cours. Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Bell & Ross, Carl F. Bucherer, Chanel, Herbelin, Lip, Nomos Glashütte et Venezianico…

Mais aussi une sportive chic très française, une vacancière qui n’a pas peur de prendre des couleurs, une reine de la pédale connectée, une nouvelle marque anti-iconique et la vaporisation d’un million d’euros… Images ci-dessous : une certaine idée de l’élégance horlogère à la française (Louis Vuitton : ci-dessous, l'exceptionnelle et unique édition en tantale, boîtier et bracelet, avec la lunette sertie de saphirs)

Quatrième séquence Only Watch et 135e épisode de notre présentation des montres de l’année en cours. Ces montres – des pièces uniques qui seront dispersées aux enchères par Christie’s en novembre – sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept nouvelles pièces uniques de sept marques : Audemars Piguet, Biver, Carl F. Bucherer, Louis Moinet, Montblanc, Speake Marin et Sylvain Pinaud…

134e épisode de notre présentation des montres de l’année en cours. Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Chanel, Cuervo y Sobrinos, Locman, Maurin Musy, Oris, Patek Philippe et Sinn…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au définitif Emil Michel Cioran (1911-1995) pour la citation de ses « Syllogismes de l’amertume » (1987) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Une nouvelle Tambour, icône qui fait sa mue en réfléchissant à ses deux premières décennies : rien n’est anodin dans cette nouvelle proposition, stratégique pour l’horlogerie Louis Vuitton…

Troisième séquence Only Watch et 133e épisode de notre présentation des montres de l’année en cours. Ces montres – des pièces uniques qui seront dispersées aux enchères par Christie’s – sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept pièces uniques de sept marques : Atelier de Chronométrie, Ferdinand Berthoud, Hermès, Konstantin Chaykin, Laurent Ferrier, Moritz Grossmann et Urwerk…

Licenciements en série au plus haut niveau et au sein des équipes horlogères, vraie production de fausses Omega, ambiance pourrie et sérieux doutes de la communauté financière sur la gouvernance du Swatch Group : rien ne va plus !

Le Sniper revient pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va ainsi vous parler, entre autres, de tonnes d’or russe exportées par des « partenaires » du luxe horloger, de l’horloge « ravalée », de l’ère des insurrections, du goût de l’amer chez les Chinois ou d’une prise USB – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au géant Honoré de Balzac (1799-1850) pour la citation de ses « Illusions perdues » (1837) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…