La succession qui s’ouvre pour les trois héritiers directs de Nicolas Hayek, le fondateur du Swatch Group, est un point de bascule de l’histoire horlogère : derrière les milliards de francs suisses que les héritiers Hayek vont se partager, c’est l’avenir du groupe pilier de l’économie des montres qui se trouve remis en question. Reste à savoir qui peut et qui veut faire quoi ?

Retour du Sniper pour une nouvelle intervention en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, de la montre du James Bond ex-soviétique, d’un ovni à quatre chiffres, des deux montres qui ont fâché la censure, de l’horlogerie politique à Genève et d’une stratégie commerciale défaillante – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

Soixante-huitième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie : vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Edwin Sattler, Hamilton, Le Rhöne, Piaget, Sinn et Tissot…

La succession vient de s’ouvrir pour les trois héritiers directs de Nicolas Hayek, le fondateur du Swatch Group : derrière les milliards de francs suisses qu’ils vont se partager, c’est tout l’avenir du pilier horloger de toute l’économie des montres suisses qui se trouve remis en question. Qui peut et qui veut faire quoi ?

Au cœur de ce printemps, de nouvelles perspectives se dessinent sur ce millésime 2023 qui sera probablement celui de tous les dangers. Entre les conséquences imprévues (et imprévisibles) de la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (notamment sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Quatrième Baromontres de l’année 2023, avec dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de mars 2023 : un début d’année qui souligne les incertitudes de toute la communauté sur les douze mois à venir. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2023, dont on ne voit pas encore clairement ce qu’il nous réserve…

Soixante-septième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie : vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Hublot, IWC, Le Rhöne, Rolex, Seagull 1963 et TAG Heuer…

Soixante-sixième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Charriol, Cooper, De Bethune, Franck Muller, RGM et Yema…

Quarante-et-unième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626) pour la citation de sa « Nouvelle Atlantide » qui compose le titre de cette quarante-et-unième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi trois satellites intersidéralement précis, une connexion fleurie au bout des doigts, trois anneaux pour les seigneurs du temps, le marteau de Thor au poignet et un chronographe trop simple pour n’être pas compliqué… Images ci-dessous : un des plus somptueux cadrans néo-classiques de ce printemps pour un chronographe de haute lignée mécanique (De Bethune)

Soixante-cinquième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Charriol, Franck Muller, Lang & Heyne, Louis Érard x Konstantin Chaykin, Nomos Glashütte, Piaget et Trilobe…

Soixante-quatrième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Leica, Nomos Glashütte, Ralf Tech, Sinn, Speake Marin, TAG Heuer et Venezianico…

Quarantième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand empereur philosophe Marc-Aurèle (121-180) pour la citation de ses « Pensées » qui compose le titre de cette quarantième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Soixante-troisième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Graham, Raymond Weil, Panerai, Ralf Tech, Trilobe et urwerk…

Soixante-deuxième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Hublot, Ice-Watch, March LA.B, Piaget, SevenFriday, Sinn et Zenith…