127e épisode de notre présentation des montres de 2023. Des nouvelles propositions racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Habring2, Louis Érard x Massena Lab, MeisterSinger, Patek Philippe, Sinn, Strom et TAG Heuer…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au magnifique Edmond Rostand (1868-1918) pour la citation de son « Cyrano de Bergerac » (1898) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Le Sniper revient pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va ainsi vous parler, entre autres, d’un bracelet refusé, de treize collaborations anticipées, d’une croissance rejetée, d’un Swiss Made adopté et d’une Tudor révélée – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

126e épisode de notre présentation des montres de 2023. Des nouvelles propositions racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Lip, Oris, Parmigiani, Serica, Strom, TAG Heuer et Unimatic…

Plus vite, plus haut, plus fort, mais aussi plus profond, plus large, plus audacieux et plus visionnaire : tout s’accélère chez Greubel Forsey, avec une fièvre architecturale qui va restructurer tous les ateliers. Suivez le guide !

125e épisode de notre présentation des montres de 2023. Des nouvelles propositions racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Arcange, Bausele, Mido, Montblanc, Norqain, Patek Philippe et Sinn…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Albert Einstein (1879-1955) pour la citation qui lui est attribuée et qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Jean-Pierre Lutgen brise la glace : alors qu’il vient de relancer Ice-Watch sur le marché de l’horlo-connexion low cost (des montres superconnectées à prix super-accessibles), il double la mise en lançant WatchPeople, la marque qui fera le buzz à la rentrée de septembre…

Le Sniper revient pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va ainsi vous parler, entre autres, d’une gifle pour le Grand Prix d’horlogerie de Genève, de questions qui fâchent à propos de l’or russe, de la purge en cours au Swatch Group, du A qui change tout et de la solution choisie par les cons – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

124e épisode de notre présentation des montres du premier semestre 2023. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Certina, Code41, Memorigin, Montblanc, Pequignet, Ralf Tech et Serica…

Le premier semestre vit ses derniers jours, confirmant que le millésime 2023 – quelle année de transition ! – sera probablement celui de tous les dangers. Entre la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (particulièrement sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

123e épisode de notre présentation des montres du premier semestre 2023. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Chanel, Franck Muller, Garmin, Ochs und Junior, Prometheus, Singer Reagined et Sinn…

Tout est bête qui finit bêtement : est-ce qu’on ne peut pas laisser tranquilles les 1 500 victimes du naufrage du « Titanic », dont l’épave pourrissante est aujourd’hui le seul et ultime mausolée ? Qu’avait-on besoin d’y organiser des loisirs implosifs et voyeuristes pour quelques milliardaires ?

122e épisode de notre présentation des montres du premier semestre 2023, avec un exception pour saluer l’arrivée de l’été : une chronique uniquement consacrée aux « plongeuses » d’une seule marque – Seiko, bien sûr !. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de plongée de la légende Seiko Prospex…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe et publiciste Denis Diderot (1713-1784) pour la citation de ses « Salons » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…