Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 184e épisode notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Breguet, Hamilton, Louis Moinet, Maurice de Mauriac, Perrelet, Sinn et Vacheron Constantin…

Le groupe Rolex autonomise sa distribution, ce qui terrorise ses concurrents légèrement paniqués : un séisme majeur vient d’avoir lieu, avec des répliques qui ne vont plus tarder à faire quelques dégâts dans le paysage horloger. Essayons d’y voir plus clair en une douzaine de questions dont on peut déjà pressentir les réponses (première partie).

Avant-dernière séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immense dramaturge français de l’absurde Eugène Ionesco (1909-1994) pour la citation de son « Rhinocéros » (1909) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi les courbes paraboliques d’un vaisseau spatial horloger, un hommage à un grand écrivain-journaliste, un digne successeur des grands maîtres horlogers des siècles passés, un tremblement de terre dans le paysage des montres et quelques autres nouvelles… Images ci-dessus : une géométrie impossible à définir au service d’un concept mécanique ébouriffant (MB&F)

183e épisode de notre présentation des montres de l’année et dernière séquence de notre série consacrée aux montres du GPHG : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Alain Silberstein, Carl Suchy & Söhne, L’Épée 1839, Maison Alcée, Seiko, Studio Underd0g, The Unnamed Society, Timeless Swiss Watch, et Van Cleef & Arpels…

Rolex prend Bucherer sous son aile protectrice : les affinités électives étaient aussi importantes pour cette acquisition que les impératifs stratégiques. La tectonique des groupes va connaître quelques convulsions géologiques majeures…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au philosophe pessimiste Arthur Schopenhauer (1788-1860) pour la citation de ses « Pensées et fragments » (1885) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

182e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Maurice Lacroix, Milus, Nomos Glashütte, Out of Order. Raymond Weil, REC et Schneider & Co…

Une nouvelle mission d’informations en toute liberté pour le Sniper, qui va vous parler, entre autres, de ce qui se passe parfois dans les boutiques en ligne, de la rentrée horlogère, des statistiques foireuses, des questions de succession à la tête des grandes marques, des montres du GPHG ou de chaises musicales – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

181e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Ciga Design, Circula, Direnzo Watches, Dumoreau, Kurono Tokyo, Lorca et Magana…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand poète Walt Whitman (1819-1992) pour la citation de ses « Feuilles d’herbe » (1855) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

180e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Agelocer, Batavi Watches, TAG Heuer, Tudor, Vieren, Vitreum Watches et Yema…

179e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Oris, Pequignet, Raymond Weil, Reservoir, S.U.F Helsinki x Sarpaneva, Seiko et Sherpa Watches…

178e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Garrick, Habring2, Hublot, ID Genève Watches, Itay Noy, Louis Érard x Konstantin Chaykin et Massena Lab x Raùl Pagès…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’éternellement pertinent et percutant Emil Michel Cioran (1911-1995) pour la citation de son « Crépuscule des pensées » (1940) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…