Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Sylvain Tesson pour la citation de son « Été avec Homère » (2018) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Un arbre en fleurs : une forêt en pleurs. Les horlogers ont la détestable manie de balayer sous le tapis les réalités qui les dérangent. Surtout quand les faits ainsi débusqués ne sont que la partie émergée d’un dangereux iceberg invisibilisé par le déni de réalité. Premier épisode : l’Omegagate et le scandale virtuellement explosif des bombes à retardement semées sur le marché des icônes de collection, plus bidouillées les unes que les autres…

154e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Andersen Genève, Chopard, Ciga Design, Dior, Gucci, IWC et Louis Vuitton…

Certes, officiellement, le GPHG n’est pas le concours annuel de créativité horlogère qu’il devrait être, mais la plupart des marques tiennent cependant à y briller par l’originalité des montres qu’elles inscrivent. Hélas, pas toutes, loin de là…

153e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Greubel Forsey, Hublot, Maranez, Minase, Sinn, Spinnaker et Tudor…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’excellent écrivain Dominique Noguez (né en 1942) pour la citation de son « Arc-en-ciel des humours » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Un arbre en fleurs : une forêt en pleurs ! Les horlogers ont la détestable manie de balayer sous le tapis les réalités qui les dérangent. Surtout quand les faits ainsi débusqués ne sont que la partie émergée d’un dangereux iceberg invisibilisé par le déni de réalité. Premier épisode : l’Omegagate et le scandale virtuellement explosif des bombes à retardement semées sur le marché des icônes de collection, plus bidouillées les unes que les autres…

152e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Hermès, Louis Vuitton, Maurice Lacroix, Nomos Glashütte, Piaget, Van Cleef & Arpels et XRby…

Le second semestre vit ses premiers jours, confirmant que le millésime 2023 – quelle année de transition ! – sera probablement celui de tous les dangers. Entre la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (particulièrement sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

151e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Andersen Genève, ArtyA, B.R.M, Chronoswiss, Mido, Sinn et Vulcain…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe Arthur Schopenhauer (1788-1860) pour la citation de ses « Aphorismes sur la sagesse dans la vie » (1851) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

150e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés (en compétition pour le Grand prix d’horlogerie de Genève) sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Arnold & Son, Beauregard, Breitling, Chopard, Claude Meylan, Dior et Gucci…

Une nouvelle mission d’informations en toute liberté pour le Sniper, qui va vous parler, entre autres, du sauvetage provisoire d’un horloger qui n’a pas encore tout perdu, d’intelligence artificielle, du retour en fanfate de Giuseppe et d’un Grand prix d’horlogerie de Genève qui file un mauvais coton (avec quelques idées pour le réformer) – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

Mais aussi un long siècle de pleines lunes très précises, des couleurs qui éclaboussent les machos, des codes contemporains plus vintage que vintage, un chronomètre de marine pour le prochain siècle et des arcs-en-ciel qui dérangent… Images ci-dessous : tous les codes de l’âge d’or dans un chronographe contemporain (Baltic)

149e épisode de notre présentation des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : CWC, Hamilton, Houtman, Hublot, Longines, Reservoir et Tsao Baltimore…