Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler, entre autres, du planétarium dont vous avez toujours rêvé, de statistiques en toc, des marteaux dopés par les cryptomonnaies, d’un cold case gênant et de Richard Mille – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 274e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Aera, Czapek & Cie., Massena Lab x Raúl Pagès, Maurice Lacroix, Seiko, TAG Heuer et Vacheron Constantin…

Trois cents mètres de profondeur ou trois cents mètres du bar à cocktails le plus proche : une « plongeuse » contemporaine doit résister à tout, sauf à la tentation de s’imposer comme une option de premier choix pour cause d’authenticité génétique et de sagesse économique…

Au vu des réactions de la communauté horlogère, le GPHG semble s’être surpassé cette année en médiocrité, en absurdité et en contrariété. D’où les questions de nos lecteurs sur ce qu’il faudrait entreprendre pour sauver un événement dont l’horlogerie a besoin, quelles que soient les insatisfactions et les exaspérations : et si on tentait une nouvelle Horlovision sur le modèle de l’Eurovision ?

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 273e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Aera, Doxa, Frederique Constant, Nomos Glashütte, Seiko, Undone et Universal Genève…

190e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci au comédien français Lambert Wilson pour sa réplique de « Matrix Reloaded » (2003, dialogues de Andy et Larry Wachowski : Lambert Wilson y joue le Mérovingien) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 272e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Blancpain, Ebel, Fossil, Frederique Constant, Herbelin, Longines et Norqain…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler, entre autres, d’un cadran classé « X », de nos pronostics pour le GPHG, d’une répétition minutes qui ne tient pas ses promesses, d’un agent secret, de la tectonique des places et des chaises musicales dans les groupes de luxe – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Au cœur de l’automne, on ne rigole plus : les indicateurs de l’industrie des montres sont passés au rouge et l’automne titube pour cause d’état de santé économique plus que chancelant et de plus en plus précaire. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine écoulée, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 271e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Blancpain, B.R.M. Chronographes x Ligier, De Bethune, Doxa, Gustave & Cie, Herbelin et TAG Heuer x Time+Tide…

189e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci à l’irremplaçable moraliste et sociologue français Michel Maffesoli (né en 1944) pour la citation de sa « Part du diable : précis de subvention postmoderne » (2004) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 270e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Akrone, Blancpain, Dennison, Fossil, Jacques Bianchi, Louis Moinet et Tissot…

Mais aussi un coussin qui affole les prix, un calendrier séculaire qui retarde le changement, une « plongeuse » qui se ressource et une friandise à vocation « militaire »… Images ci-dessous : une légende de la plongée revue et corrigée (jacques Bianchi)…

188e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain et dramaturge français Marcel Aymé (1902-1967), maître de l’ironie et de l’inconfort intellectuel, pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Tout ça pour en arriver là ! Le GPHG a même réussi à affadir Carole Bouquet en lui enlevant tout… bouquet : heureusement, elle a relevé le niveau avec de délicieuses gaffes, mais qu’est-ce qu’on a pu s’ennuyer avant de boucler un palmarès très décevant…