C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée, cette fois en compagnie des nouveautés présentées aux GWD ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 214e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Behrens, Blancpain, Bvlgari, Cvstos, Daniel Roth, Frederique Constant et HYT…

161e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au colonel Samuel Trautman (joué par Richard Crenna) pour la réplique de « Rambo » (2009) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Pour l’industrie des montres, le second semestre 2024 se vit dans un état de santé économique plus que chancelant. Le millésime 2024 prend plaisir à chambouler tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée, cette fois en compagnie des nouveautés présentées aux GWD ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 213e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, Armin Strom, Blancpain, Breitling, Claude Meylan, HYT et Tutima…

C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée, cette fois en compagnie des nouveautés présentées aux GWD ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 212e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, Blancpain, Breitling, Frederique Constant, Girard-Perregaux, HYT et L’Épée 1839…

L’industrie des montres déteste certains mots : le mot « crise » fait l’objet d’une aversion particulière. Elle déteste aussi qu’on lui mette sous le nez les indices de décroissance que les marchés mettent en évidence. Un rétropédalage qui nous rappelle qu’il faut savoir écouter les lanceurs d’alerte…

160e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense et toujours mordant écrivain français Marcel Aymé (1902-1967) pour la citation de sa « Jument verte » (1933) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée, cette fois en compagnie des nouveautés présentées aux GWD ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 211e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Blancpain, Breitling, De Bethune, Frederique Constant, H. Moser & Cie., Micromilspec et Nivada Grenchen…

C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée, cette fois en compagnie des nouveautés présentées aux GWD ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 210e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arnold & Son, Bianchet, Blancpain, Lousi Érard, Maurice Lacroix, Perrelet et Trilobe…

Trop souvent, le « squelettage » est un cache-misère : faute de cadran et pour rouler des mécaniques, on va miser sur les poutres apparentes ! On transforme les montres en autant de mini-tours Eiffel qui masquent leur identité formelle sous un brouillard de composants industriels sans le moindre intérêt. Ras-la-prunelle du supplice squeletté qu’on inflige aux plus belles montres…

159e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au dialoguiste du film « Titanic » (1997) pour la citation d’une réplique de Tommy qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Il était temps, mais il ne faut jamais désespérer des grandes maisons : Breguet tente ainsi d’enrayer la spirale de décadence mortifère où la marque perdait son âme, son prestige et ses parts de marché depuis quelques années. Reste à savoir si ce sauvetage n’est pas une mission impossible…

C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 209e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arnold & Son, Blancpain, Czapek & Cie., H. Moser & Cie. x Studio Underd0g, M.A.D.Editions, Perrelet et Trilobe…

C’est reparti pour nos « Repérages » de la rentrée ! En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 208e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Angelus, ArtyA, Blancpain, Czapek & Cie., Laurent Ferrier, Maurice Lacroix et Ressence…

158e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grandissime et jamais remplacé dialoguiste français Michel Audiard (1920-1985) pour la citation (une réplique de Jean Gabin dans « Un singe en hiver » d’Henri Verneuil, 1962) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…