En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-quatrième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : ArtyA, Breva, Chronoswiss, Delma, Ikepod, Pierre Lannier et Versace…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-troisième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Albishorn, Chronoswiss, Citizen, Ikepod, Louis Moinet, Taos, Urwerk et ZRC…

Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 241e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand roi français Louis XIV (1638-1715) pour la citation d’un de ses avertissements à l’ambassadeur d’Angleterre qui compose le titre de cette pictochronique : à l’été 1715, quelques semaines avant la mort du roi, cet ambassadeur était venu pleurnicher à Versailles parce que la France ne respectait pas vraiment ses engagements internationaux (ce qui était exact). Admirez l’exquise et menaçante politesse diplomatique de cette répliques ! C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et aux marques de montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 240e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français Léon Bloy (1846-1917) pour la citation de son « Siècle des charognes » (1900) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et aux marques de montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Naissance d’un grigri contemporain, dérivé des armes de la ville de Genève par un artisan carougeois qui ne manque pas de vista : la croix de Genève a tout pour devenir, demain, le fétiche des fashionista et des messieurs soucieux d’élégance…

Mais aussi un précieux arc-en-ciel en platine, deux lunes plus lunaires que jamais, une militaire aussi tatouée qu’inspirée, une sportive chic sous deux couronnes et vingt bougies à souffler… Images ci-dessous : un chronographe plus vintage que nature et plein d’imagination (Albishorn)…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-deuxième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Franck Muller, Mido, Parmigiani, Poiray, Seiko, Sinn et Taos… par Eyquem Pons

Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 239e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au Seigneur Vador pour cette réplique du « Retour du jedi » (1983 : saga « Star Wars », épisode VI) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et aux marques de montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

On a récemment remarqué, au poignet des mannequins du défilé A-H 2025 de Louis Vuitton, une montre « historique » ressortie pour l’occasion des archives de la marque. De quoi nous remettre en mémoire l’incroyable histoire de cette montre : une gamelle monumentale dont Louis Vuitton n’était en rien responsable, mais qui n’est pas à la gloire de l’horlogerie suisse…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-et-unième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Anoma, Louis Vuitton, Nomadic, Philipp Plein, Seiko, Taos et Xeric…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarantième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Ba111od, Casio, Ferragamo, Jaquet Droz, MeisterSinger, Repossi et Tissot…

Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 238e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à la grande chanteuse britannique Bonnie Tyler (née en 1951) pour la citation de son célébrissime tube « It’s A Heartache » (1978) qui compose le titre de cette pictochronique (« C'est un jeu de dupes / Rien d'autre qu'un jeu de dupes / Debout sous la pluie froide /Se sentir comme un clown »). C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et aux marques de montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le trente-neuvième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Aerowatch, Blancpain, Breitling, Lip, MeisterSinger, Pierre Lannier et Sinn…

Tant qu’à se vautrer dans la plus fatiguée des rétronostalgies vintage, est-ce qu’on ne devrait pas en finir avec les ayatollahs du tout-mécanique pour renouer avec les charmes discrets du quartz ? C’est peut-être la seule stratégie immédiatement opérationnelle pour faire baisser les prix sans renier nos icônes. En attendant de nouvelles formes et de nouvelles fonctions…

Pour mieux résister à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 237e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand linguiste et philosophe américain Noam Chomsky (né en 1928) pour la citation de sa « Fabrication du consentement » (1988) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et aux marques de montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…