• SANS FILTRE #106
    « Les branches sont faites pour être coupées » (seconde partie)

    Les groupes de luxe sont-ils l’avenir des marques horlogères ? On peut en douter et se demander s’ils n’en sont pas le passé à force d’en être le passif. L’heure semble donc à la déconsolidation des regroupements hétéroclites de marques horlogères qui ne semblent plus aptes à recréer la fantastique « bulle » création de valeur des années 2000 à 2020. Encore faut-il pouvoir les revendre en dénichant un miraculeux racheteur : Zorro va-t-il arriver ?

  • SILENCE, ON COULE !
    « Encore un instant, Monsieur le bourreau » (madame du Barry montant sur l’échafaud, en 1793)

    Comme on ne va pas tirer sur les ambulances, on fera court : comme le reste du paysage horloger, la distribution des montres est bouleversée par des convulsions tectoniques profondes. Rien ne va plus pour Les Ambassadeurs, qui frôlent maintenant la sortie de route. En attendant un rachat ?

  • SANS FILTRE #105
    « Les branches sont faites pour être coupées » (première partie)

    Les temps sont peut-être venus pour dégrouper ces conglomérats du luxe qui ont été consolidés au tournant du troisième millénaire. Si les regroupements de marques horlogères ont aidé à une fantastique création de valeur dans les années d’une « bulle » qu’elles ont suscitée, alimentée, mondialisée et finalement tuée, ces mêmes conglomérats sous-performent à présent et mettent même les marques en danger. Les temps sont probablement venus de déconsolider les maîtres du temps : reste à savoir s’il y a des acheteurs pour les canards boiteux…

  • PICTOCHRONIQUES #245
    « Il n'y a ni bon, ni mauvais usage de la liberté d'expression : il n'en existe qu'un usage insuffisant »

    Pour mieux résister » à la morosité terminale de ce premier trimestre 2025, voici le 245e épisode de nos pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, penseur et philosophe belge Raoul Vaneigem (né en 1934) pour la citation de son « Rien n’est sacré, tout peut se dire » (2003) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #49-2025 (accès libre)
    Sept commentaires sans complaisance sur un bolide et six nouveautés horlogères qui attendent votre verdict

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-neuvième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Biver, B.R.M. Chronographes, Chronoswiss, Doxa, Festina, HYT et Pierre Lannier…

  • REPÉRAGES #48-2025 (accès libre)
    Sept regards critiques sur sept montres qui font leur premier tour de piste ces jours-ci

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-huitième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arcange, Bianchet, Mido, Norqain, Tsao Baltimore, Undone et Versace…

  • PICTOCHRONIQUES #244
    « Pour ne pas devenir très malheureux, le moyen le plus certain est de ne pas demander à être très heureux »

    Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 244e épisode de nos pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe allemand Arthur Schopenhauer (1788-1860) pour la citation de ses « Aphorismes sur la sagesse dans la vie » (1851) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #47-2025 (accès libre)
    Sept regards critiques sur sept nouvelles montres en piste pour la prochaine Wonder Week

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-septième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Angelus, Benrus, Girard-Perregaux, Hautlence, Louis Vuitton, Nixon et Raymond Weil…

  • REPÉRAGES #46-2025 (accès libre)
    Sept jugements personnels sur sept nouveautés horlogères qui font leurs premiers pas printaniers

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-sixième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Byrne, Junghans, Louis Vuitton, Poiray, Swatch, Trilobe et Venezianico…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand les épées se dressent dans le vent et quand le dôme huile les disques : c’est l’actualité printanière des montres…

    Mais aussi le retour d’une militariste sans complexes, une vraie promesse de luxe artistico-horloger, une Parisienne portée sur le brun, un Gallet qui ricoche, des statistiques en berne et des anneaux qui jonglent avec le temps… Images ci-dessous : le temps qui passe est un seigneur des anneaux (Trilobe)…

  • PICTOCHRONIQUES #243
    « Le mouton passe sa vie dans la peur du loup, mais, à la fin, c’est le berger qui le mange ! »

    Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 243e épisode de nos pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à la sagesse populaire géorgienne pour le proverbe qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, dont les pires ennemis sont aux commandes de pilotage ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #45-2025 (accès libre)
    Sept jugements personnels sur sept nouveautés en piste pour la grande compétition du printemps 2025

    En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quarante-cinquième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Casio G-Shock, Formex, Girard-Perregaux, Ralf Tech, Ressence, Schwarz Etienne et Versace…

  • PICTOCHRONIQUES #242
    « La liberté est une peau de chagrin qui rétrécit au lavage de cerveau »

    Pour mieux résister » à la morosité de ce premier trimestre 2025, voici le 242e épisode de nos pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand publiciste anticonformiste français Henri Jeanson (1900-1970) pour la citation d’un de ses éditoriaux de « L’Aurore » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et aux marques de montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • L’HEURE DE VÉRITÉ
    Les actionnaires du Swatch Group sont-ils à ce point stupides ?

    Moins 15 % pour le chiffre d’affaires, moins 75 % pour le résultat net, des dividendes qui s’effondrent, un trésor de guerre qui a fondu, des stocks qui dépassent d’un milliard le chiffre d’affaires net du groupe, on en passe et pas des meilleures ! La rémunération de Nick Hayek n’en est pas moins cette année d’à peu près 5 millions de francs – à peine un peu moins que l’année. Que font les actionnaires ?

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