Mais aussi l’équipement de l’été pour ceux qui sentiront bon le sable chaud, le coussin qui nous rejoue les grands airs des années 1970 et le phénomène qui nous change de la rengaine néo-classique… Ci-dessous : Monza : un circuit automobile de légende depuis les années 1920 et un hommage horloger qui souffle quarante bougies rétro-nostalgiques…

Les nouveautés qui arrivent sur le marché, qui sont déjà en vitrine ou qui le seront bientôt. Des montres vues du côté des marques, commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare. Sept montres cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Alpina, Baume & Mercier, Junghans, Kerbedanz, Maurice Lacroix, Michel Herbelin et Swatch…

Enfin, on commence à voir à quoi ressemblera – au moins dans ses grandes lignes – la future montre du projet Goldgena, qui tient tout le monde en haleine après une campagne de sensibilisation très mordante. Après les trois premiers volets de la phase 1 (voir ci-dessous), on passe au produit à proprement parler : voici les premiers visuels de la montre proposée, avec des options ouvertes pour impliquer la communauté des amateurs dans les futurs développements : faut-il jouer la carte du Swiss Made ou préférer le meilleur rapport qualité/prix ?

Brian Krzanich, le patron du géant Intel, aurait-il joué un tour de cochon à son « pote » Jean-Claude Biver, le patron de TAG Heuer ? En Californie, on met les rumeurs selon lesquelles la Carrera Connected de Jean-Claude Biver aurait « perdu son moteur » sur le compte d’une certaine fébrilité suisse face aux smartwatches. Derrière les enfumages médiatiques, on voit évoluer le paysage de la « carpo-révolution », ses enjeux, ses animateurs, ses impasses et ses coups tordus…

Même Jean-Daniel Pasche, le président de la Fédération horlogère suisse, a fini par s’émouvoir des propos du « crétin du jour ». Très pusillanimement, mais c’est mieux que rien ! Maintenant, puisque Sébastien Bazin, le PDG du groupe Accor (hôtels) se permet de considérer publiquement qu’il faut cesser d’acheter des montres (qui relèvent à ses yeux d’une futilité et d’une vanité synonyme d’« échec »), les dirigeants des marques horlogères devraient considérer que les hôtels du groupe Accor (Sofitel, Pullman, Novotel, etc.) sont à éviter : à quoi bon soutenir un patron qui affiche une telle hostilité médiatique aux belles montres ? On attend ses excuses et on devrait demander des comptes à ses actionnaires ! En attendant, laissons s’ébattre dans les hôtels du groupe Accor les amateurs de montres en plastique rose…

Quand il appelle à investir dans la recherche contre le cancer plutôt que dans les montres, en posant avec une montre en plastique rose, le vice-président de la Fondation Gustave-Roussy, par ailleurs PDG du groupe Accor, ne nous dit pas qu’il a lui aussi beaucoup investi dans les montres de luxe. Aux dernières nouvelles, il en avait même pour 100 000 euros…

L’actualité horlogère vue par « Business Montres », comme toutes les semaines, le samedi midi sur France Bleu Besançon : cette chronique « Les 24 minutes du temps » reste à ce jour la seule tribune hebdomadaire de l’horlogerie de tout le paysage audiovisuel francophone (France, Belgique et même Suisse, sans parler du Canada et d’ailleurs). Au programme de cette chronique horlogère diffusée le 7 mai, qui commence à la minute 04:40 du lecteur ci-dessous : les coulisses de la grande bataille qui se joue dans les couloirs des palaces de Cannes. À partir de la minute 11:25, une intéressante conversation avec Claude Briselance, qui vient d’écrire une histoire des écoles d’horlogerie de Besançon…

C’était à lire au cours de ces derniers jours dans « Business Montres » – et nulle part ailleurs ! En exclusivité, en avant-première ou en toute originalité, en vrac, en bref ou en grande largeur, en chaire ou en rosse, mais toujours en toute liberté de parole et de pensée ! Un bon sujet de méditation pour tous nos amis amateurs de montres qui fréquentent les médias perroquets spécialistes de l’anesthésie éditoriale : quels autres médias horlogers avaient déjà publié – avant nous – ces révélations, ces informations et ces analyses critiques ?

Intel vient d’annoncer l’arrêt prochain des micro-processeurs de la gamme Atom, qui sont le cœur électronique des Carrera Connected de TAG Heuer. Jean-Claude Biver vient-il de perdre le moteur de sa montre connectée et sa stratégie fondée sur l’offre Android + Intel est-elle condamnée ? Pas vraiment, si on examine les raisons de cette décision d’Intel, qui ne font que confirmer la mutation irréversible du marché les objets connectés autonomes – et, à terme, la mort annoncée de nos actuels smartphones. Explications…

Ce Sébastien Bazin est probablement un garçon charmant, et il a même la réputation d’être compétent dans sa partie (il dirige par ailleurs les hôtels Accor). Mais, comme il fait des réflexions stupides, on le rangera dans la catégorie des grands crétins de service, où l’avait notamment précédé le publicitaire sénile Jacques Séguéla – celui qui pérorait sur la « Rolex à cinquante ans »…

Mais aussi un chronographe tourbillonnant qui chamboule les concurrents, une Terre sphérique qui n’a pas la grosse tête et l’acier des bonnes résolutions mécaniques… Ci-dessous : un vrai goût de haute horlogerie mécanique, conceptuelle et compliquée, mais à un prix dénué de tout artifice marketing…

Les nouveautés qui arrivent sur le marché, qui sont déjà en vitrine ou qui le seront bientôt. Des montres vues du côté des marques, commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare. Sept montres cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Armin Strom, Dior, Eberhard, HYT, Swarovski, Ulysse Nardin et Vicenterra…

Un horloger chinois propose un tourbillon mécanique à remontage manuel pour 250 euros en version de base. Ridicule ? Pas forcément pour des consommateurs de montres électroniques qui voudraient s’offrir un petit frisson mécanique. Dangereux ? Pas pour le chiffre d’affaires des spécialistes suisses du tourbillon, « complication » extraordinairement banalisée, sinon galvaudée depuis quelques années, mais plutôt pour leur image et pour leur référentiel tarifaire : ça risque de devenir difficile pour justifier des prix suisses cinquante fois plus élevés…

L’actualité horlogère vue par « Business Montres », comme toutes les semaines, le samedi midi sur France Bleu Besançon : cette chronique « Les 24 minutes du temps » reste à ce jour la seule tribune hebdomadaire de l’horlogerie de tout le paysage audiovisuel francophone (France, Belgique et même Suisse, sans parler du Canada et d’ailleurs). Au programme de cette chronique horlogère diffusée le 30 avril, qui commence à la minute 04:05 du lecteur ci-dessous : la météo horlogère ne s’améliore pas, notamment aux Etats-Unis, et, à partir de la minute 11:00, le point sur la renaissance de Lip (marque française relancée par la famille Bérard chez SMB)...

Dialoguer avec les amateurs européens (les entendre, les écouter, les comprendre et les séduire) ou parader avec les évanescents clients chinois, qui semblent désormais penser à autre chose qu’aux montres suisses ? Les services marketing de l’horlogerie suisse ont perdu leurs repères sans trouver de nouvelles bonnes raisons de refréquenter des boutiques horlogères où s’entassent des stocks absurdes de produits qui se démodent de mois en mois. Forcément, certains perdent la boule. Voir une marque comme Panerai se lancer dans la montre à répétition minutes laisse rêveur : pire qu’une erreur marketing, c’est une faute morale. Y a-t-il encore un pilote dans l’avion ?