En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 182e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : ArtyA, Breitling, Raketa, Raymond Weil, Robot, Trilobe et Voutilainen…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 181e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Hublot, HYT, IWC, Kallinich Claeys, Louis Moinet, Parmigiani Fleurier et Piaget…

146e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand poète et écrivain français Victor Hugo (1802-1885) pour la citation de son « Ruy Blas » (1838) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler des voleurs de montres qu’on écrase, des analystes très myopes, d’un sérieux risque de krach financier mondial, d’un sweat à capuche nautilesque, des marques de luxe qui s’en tirent mieux que les autres, de décrochage éconoique et d’une mystérieuse « Égyptienne » – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 180e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Chopard, Fears, Fleming, Garrick, Grand Seiko, Hajime Asaoka et Holthinrichs…

Pour l’industrie des montres, le second semestre 2024 commence dans un état de santé économique chancelant. Le millésime 2024 prend plaisir à chambouler tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 179e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Armin Strom, Arnold & Son, ArtyA, Bovet 1822, Bvlgari, Byrne et Parmigiani Fleurier…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 178e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Louis Vuitton, Lyrique, Massena Lab x Raúl Pagès, Ming, Parris daCosta Hayashima, Titan et Venezianico…

145e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand (saint) Augustin d’Hippone (354-430 avant notre ère) pour la citation de ses « Confessions » (397 av. J.-C.) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Certains chassent le papillon. « Business Montres » préfère la chasse aux perroquets, tout particulièrement aux médias perroquets, espèce invasive qui a colonisé tout l’écosystème horloger en vendant ses lecteurs à ses annonceurs plutôt que de vendre ses contenus à ses lecteurs. D’un côté, la « classe parlante » et ses « supports » publicitaires ; de l’autre, une certaine idée de la liberté de l’information. À chacun de choisir…

Septième Baromontres de l’année 2024, avec quatorze coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce sixième mois de l’année. Les incertitudes qui se dessinaient fin 2023 sont devenues des certitudes : le premier semestre 2024 s’est révélé difficile et exigeant, mais aussi terriblement périlleux ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2024, qui ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 177e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Garric, Gérald Charles, H. Moser & Cie., ID Genève, IWC, J.N. Shapiro et Kudoke…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 176e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Chopard, Chronoswiss, Czapek, Fabian Pellet, Fears et Furlan Marri…

144e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au dialoguiste du film « Le Cinquième élément » (Luc Besson, 2005 : discussion entre le père Vito Cornelius et Zorg) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En difficulté depuis quelques mois, le réseau Crésus, qui intervenait sur le second marché, avait considérablement réduit la voilure. La conjoncture s’avérant de plus en plus tendue, l’ensemble Crésus vient d’être racheté par le groupe familial français Maty…