85e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au regretté grand humoriste Guy Bedos (1934-2020) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une forteresse indépendante, le style intemporel d’une maison de mode, une tête de mort qui joue la transparence, une aviatrice tricolore, des chiffres qui inquiètent et une révision esthétique aéro-pilotée… Images ci-dessous : l'esprit militaire d'une montre de pilote très civilisée (Yema)...

Soixantième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Bremont, Bvlgari, Gucci, Kelton x Ines de La Fressange, Sergey Chutov, TAG Heuer et Versace…

Cinquante-huitième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Auricoste, B.R.M. Chronographes, Christopher Ward, Girard-Perregaux, Kelton x Ines de La Fressange, Sinn et Versace…

La globalisation de l’économie des montres a conduit à son ensauvagement spectaculaire : plus personne ne respecte plus rien, et surtout pas les les bons usages qui tissaient l’art de vivre d’une profession par nature et par tradition policée. Les vautours planent et les voyous sont partout, avec ou sans cravate : piratage et démarquage sont les deux mamelles de l’horlogerie…

84e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense écrivain russe et prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne (1918-2008) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de quelques supercheries genevoises, des 400 nouveautés d’un record du monde, d’élus genevois qui prennent leur temps, de clandestins à Palexpo, des milliers de montres proposées toutes les semaines aux enchères et d’une dilection personnelle en dépit d’une Porsche – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Cinquante-septième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Auricoste, Fleming, Gucci, Ice-Watch, L’Épée 1839 x MB&F, Louis Pion et Pierre Lannier…

Cinquante-sixième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Ferragamo, Fleming, Genus, Gucci, Herbelin, Louis Vuitton…

83e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense écrivain français Georges Bernanos (1888-1948) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Cinquante-cinquième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Breguet, Ferragamo, Festina, Fleming, Grand Seiko, Mr Jones et Sergey Chutov…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’icônes inlassablement surexploitées par une surenchère identitaire, de Japonais floués et d’Indiens acculturés, de blanchiment genevois, d’une plongeuse controversée, de chronographe Rolex et d’intérimaires du management – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Le premier semestre s’avance lentement, mais dégressivement, alors que se dessine un millésime 2024 qui chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, entre les guerres (Ukraine, Proche-Orient, etc.) et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde – particulièrement sur les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Cinquante-quatrième épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques venues du Royaume-Uni : Duckworth Prestex, Freeze, MHD Watches, Monro Adventure, Studio Underd0g, William Wood et Zero West…

Chacun sait qu’il n’y a pas plus vertueux qu’une marque d’horlogerie, qu’on ne saurait soupçonner d’être une machine à laver de l’argent sale ou un prétexte pour recycler des diamants de guerre. Tout le monde le sait, sauf… l’auteur de « La Fille de diamant », un polar très bien informé…