199e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français André Gide (1869-1951) pour la citation de ses « Faux monnayeurs » (1925) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Il n’est pas fréquent de porter des montres qui font quasiment l’unanimité : c’est le cas de cette Millesime automatique et c’est sans doute parce qu’elle concentre tout ce qu’on attend aujourd’hui d’une montre…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler, entre autres, du départ d’un maître du squelettage, de l’honneur perdu des horlogers suisses, d’un fabuleux destructeur de valeur et de déraillements productifs – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

L’automne s’achève en débâcle. Les indicateurs de l’industrie des montres sont au rouge. L’hiver qui vient titube pour cause d’état de santé économique chancelante. La précarité s’installe dans les stratégies. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine écoulée, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 289e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Baltic, Eberhard & Co., Krayon, Omega, Raymond Weil, Sherpa et Vacheron Constantin…

Cette chronique n’est pas écrite d’un point de vue chrétien. N’ayant pas la foi, je n’en suis que plus libre d’exprimer un point de vue sur le retour au culte de la cathédrale Note-Dame-de-Paris et sur la commotion internationale, ressentie il y a cinq ans et apaisée par la cérémonie de samedi soir. Où étaient donc cachés les horlogers suisses ?

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 288e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Backes & Strauss, Balmont, Baltic, Louis Érard, March LA.B, Silmach et Vacheron Constantin…

Bien sûr, sur Kickstarter, les campagnes de sociofinancement ne sont plus qu’elles étaient : on n’y récolte plus des millions de dollars, ni même des centaines de milliers de francs suisses ! Pénurie d’idées ou idées de pénurie ? Tout n’est pas désespéré : on trouve quand même quelques pépites en charriant beaucoup de scories et de boues, mais, au moins, on rigole….

198e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense écrivain et hussard français Roger Nimier (1925-1962) pour la citation de son « Hussard bleu » (1950) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une casquette qui voit rouge, trois aiguilles qui régulent le temps et une « plongeuse » qui se donne des grands airs… Images ci-dessous : une révolution d’autant plus rupturiste qu’elle est invisible (Silmach)…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 287e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Amida, Girard-Perregaux, Orient Star, Perrelet, Raymond Weil, Seiko et Vacheron Constantin…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 286e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Breguet, Fossil, Hublot, MHD, Richard Mille, TAG Heuer et Vacheron Constantin…

197e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain français François René de Chateaubriand (1768-1848) pour la citation de ses « Mémoires d’outre-tombe » (1848) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler, entre autres, des incroyables mensonges du GPHG, d’une Légion d’honneur pas très honorable, des petites annonces chez Richemont, de la plus jolie voix de l’horlogerie et des vieux copains de Jean-Claude Biver – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 285e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Breguet, Depancel, Fossil, Mido, Parmigiani Fleurier, TAG Heuer et Zenith…