94e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au bien oublié Paul Déroulède (1846-1914) pour la citation de son chant « Le Clairon » (1873, musique d’Émile André) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

208 millions d’euros d’amende, mais les Douanes françaises s’en allouent 206 millions, le reste allant aux marques (dont 1,8 million pour Rolex) : a-t-on vraiment pris la contrefaçon au sérieux, les responsables condamnés devant se retrouver à peu près libres dans quelques mois ? Il était pourtant question, au bas mot, de 12 000 fausses « vraies montres » si bien réalisées qu’elles passaient pour authentiques…

Mais aussi une sobriété mécanique parfaitement maîtrisée, une « plongeuse » encore jamais vue, la gentille Martine qui s’accroche aux poignets, des salons horlogers, une quête de la précision et un nouvel « ovni » de poignet… Images ci-dessous : Martine ne fait pas ses 70 ans et prend son temps avec Ice-Watch, tandis que les plongeuses s'inventent une vie avant et après la plongée...

77e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Drakkar, Krayon, March LA.B, Memorigin, Mühle Glashütte, Rado et Shinola…

76e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Ba111od, Cuervo y Sobrinos, Horage, HYT, Jaquet Droz, M.A.D.Editions et Mido…

Saison 3 pour le laboratoire hydromécanique HYT, qui a déjà tenté de se survivre dans plusieurs directions pas toujours convaincantes. Bon sang ne saurait mentir : la nouvelle T1 renouvelle brillamment l’imaginaire de la marque. T1, avec un T comme il était temps…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un tramway horloger, de démographie printanière, d’un plan à trois, d’injustices, de chic lacustre, de démographie galopante, d’un record du monde et d’une liste noire – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

93e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand et définitif écrivain, érudit et moraliste français Michel de Montaigne (1533-1592) pour la citation de ses « Essais » (1580) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

C’est peut-être la première montre « gasconne » de l’histoire horlogère et sans doute la plus enracinée dans l’idée qu’on peut se faire du grand style créatif français, exprimé ici en toute liberté : merci à Maximilian Büsser d’avoir convaincu Jean-Charles de Castelbajac de nous rappeler qu’il était l’heure d'un nouveau « Time to Love » pop-culturel…

75e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Angelus, Breitling, Citizen, Jaquet Droz, Leica, Louis Pion et Norqain…

Troisième Baromontres de l’année 2024, avec quinze coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce troisième mois de l’ année qu s’ouvre. Les incertitudes qui se dessinaient fin 2023 sont devenues des certitudes : le premier trimestre 2024 s’annonce plus que jamais difficile et exigeant ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2024, qui ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…

74e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024 : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas – voici donc sept montres de sept marques : Aquastar, Breitling, Ferragamo, Hamilton, Martin Design Watches, Rado et Reuge…

Qui sera où ? Pour le « qui présentera quoi ? », on verra dans quelques jours, mais encore faut-il savoir où retrouver les uns et les autres ! Quand plus de 250 marques de montres débarquent à Genève et qu’elles n’y restent qu’une toute petite semaine, il faut agender précis, jouer serré et viser juste…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de poissons d’avril (c’est de saison), de montres plus ou moins bien sociofinancées, d’un jeune débutant prometteur, d’aquarium et de la guerre genevoise des parts de marché – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

92e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’irremplaçable Édith Piaf (1915-1963) pour la citation de son célébrissime « Hymne à l’amour » (1950, paroles d’Édith Piaf, musique de Marguerite Monnot) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…