Bilan pas vraiment positif pour les deux premières décennies du règne de Nick Hayek sur le Swatch Group : c’est le moins qu’on puisse dire ! En dix leçons, que faudrait-il changer pour que ça aille mieux ? « Dans la peau de Nick Hayek », le patron du Swatch Group : une seconde séquence radicale…

286e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Arnold & Son, Corum, Hvilina, Perrelet, Raketa, Sinn et Zelos…

Quarante-septième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand écrivain français Georges Bernanos (1888-1948) pour la citation de sa « Liberté, pourquoi faire ? » (1953) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Bilan pas vraiment positif pour les deux premières décennies du règne de Nick Hayek sur le Swatch Group : c’est le moins qu’on puisse dire ! En dix leçons, que faudrait-il changer pour que ça aille mieux ? « Dans la peau de Nick Hayek », le patron du Swatch Group : une première séquence radicale …

285e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Angles, Arnold & Son, Bernard Favre, Breitling, Casio G-Shock, Ice-Watch et Otium…

Le second semestre tire à sa fin en confirmant le millésime 2023 comme une tragique année de transition ! C’était aussi l’année de tous les dangers, entre les guerres (Ukraine, Proche-Orient, etc.) et la crise économique qui couve un peu partout dans la monde – particulièrement sur les grands marchés horlogers. Toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un bateau en papier qui va couler, d’une petite sœur en mission pour ses grandes sœurs, d’un psychopathe horloger, d’un repositionnement questionnable et d’un courage à écouter – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

284e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Airain, Bell & Ross, Breitling, Emera, Franck Muller, Memorigin et SYE (Start Your Engine)…

283e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – ArtyA, Auricoste, Beauregard, Bovet 1822, Breitling, Panerai et SYE (Start Your Engine)…

Toutes les fake news ne sont pas forcément fake. Certaines infox sont parfois des infos, sinon de vraies intox ! Le futur ex-patron d’Audemars Piguet n’a jamais été aussi heureux de sa vie : pas le moins du monde nostalgique du fauteuil qu’il va officiellement quitter dans quelques jours, il a eu près de dix-huit mois pour préparer sa prochaine séquence de vie, qui pourrait le voir créer sa propre marque de montres…

Quarante-sixième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à nos grands ancêtres romains pour la magie de ce palindrome (on peut le lire à l’endroit comme à l’envers) philosophique qui compose le titre de cette pictochronique : on pourrait le traduire par « Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes consumés par le feu ». C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

282e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Coros, Hermès, Louis Pion, Moritz Grossmann, Restrepo, SYE et Vacheron Constantin…

Un nouveau groupe horloger vient de naître : Breitling consolide sa place sur le marché avec Universal Genève, une marque autrefois concurrente. De quoi modifier quelques équilibres sur le marché de l’horlogerie contemporain. Encore un coup du « facteur humain »

281e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Alpina, Beauregard, Breitling, De Bethune, March LA.B., Mauron Musy et Méraud…

Quarante-cinquième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à la grande chanteuse française France Gall pour la citation de son « Résiste » (1981, paroles de Michel Berger) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…