Rien ne sert de parler, il faut crier à temps, du moins de temps en temps. Par les temps qui courent, la puissance de l’émission conditionne l’effet de la réception, surtout s'il s'agit « porter la plume dans la plaie »...

Trente-deuxième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense Clint Eastwood pour son inoubliable réplique à Eli Wallach dans « Le bon, la brute et le truand », citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une montre connectée qui vient de se réveiller, une plongeuse urbano-océanique, une classique japonaise pleine de charme, un exercice de mémoire, des enchères assez « marteau » et un bouquet de pierres précieuses… Images ci-dessous : une baroudeuse métallurgique venue de l’Oural post-soviétique (Zlatoust)

Pourquoi n’y a-t-il pas de prix GPHG 2023 dans deux catégories (Homme et Exception mécanique) ? Parce que les notaires chargés de la régularité des votes ont éliminé des marques qui auraient pu y avoir droit. Pas irrégulier en soi, mais pas vraiment intelligent au regard des intérêts généraux de la communauté horlogère…

Si le Grand prix d’horlogerie de Genève (GPHG) mérite à lui seul un prix, c’est bien celui de l’événement le plus assommant de tout le calendrier horloger, avec un manque choquant d’originalité, de créativité et d’équité. C’était même pire que l’année dernière…

Message reçu cinq sur cinq, alors que battent les tambours de bronze de l’actualité ! Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de quelques adieux, d’un recasage, d’un vœu pieux, d’un vrai frère, de perroquets et de solitude médiatique – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

252e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Bell & Ross, Casio G-Shock, Gérald Charles, Grand Seiko, Havaan Tuvali, Ice-Watch et March LA.B…

Trente-et-unième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand Charles Péguy (1873-1914) pour la citation de ses « Pensées » (1998) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En refusant de s’expliquer sur la vraie fausse vente « Passion for time », la direction de Christie’s s’enferre dans une position absurde. Que s’est-il vraiment passé lundi matin : en toute transparence, « Business Montres » compare les récits et pose les questions qui fâchent…

251e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Baume & Mercier, Casio G-Shock, Herbelin, Ochs und Junior, Omega, Romain Gauthier et U-Boat…

Message reçu cinq sur cinq, alors que battent les tambours de bronze de l’actualité ! Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d'un naufrage au ralenti, d'un ratage immobilier, d'une créature qui décoiffe, d'une pratique lessivière et d'une envie de parcourir le monde – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

250e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Baume & Mercier, BWG Bavarian Watch, Carl F. Bucherer, Gérald Charles, Kelton, Louis Moinet et Omega…

Trentième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand dramaturge Jean Anouilh (1910-1987) pour la citation de son « Rendez-vous de Senlis » (1941) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres, par exemple, celle des enchères horlogères ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Il y avait le feu après l’étrange vraie fausse vente Christie’s de ce lundi matin : personne dans la salle n’a vraiment compris ce qui se passait et les interprétations malignes ont métastasé sur les réseaux sociaux. Tombées tard dans l’après-midi, les explications techniques de Christie’s sont logiques et sans doute pertinentes, mais elles n’apaisent pas les doutes immenses qu’elles ont réveillés…

On nous avait décrit l’extraordinaire et opulente collection de Mohammed Zaman, un très riche amateur du sultanat d’Oman, comme « la-plus-belle-du-monde ». Christie’s, qui en avait obtenu la mise en vente, en espérait quarante bons millions. Malheureusement, ce matin, il n’y avait pas grand-monde pour les acheter. Il a fallu parer au plus pressé... Au risque de se faire repérer, de se faire prendre et de se faire crucifier !