Avec le début de l’automne, on ne rigole plus : les indicateurs de l’industrie des montres sont passés au rouge et l’automne s’annonce en titubant pour cause d’état de santé économique plus que chancelant et de plus en plus précaire. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 255e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Grand Seiko, Hublot, Maurice de Mauriac x Warm & Wonderful, Nivada Grenchen, Panerai, SilMach x Alain Silberstein et Versace…

180e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immortel Rocky Balboa (Sylvester Stallone) pour la réplique de « Rocky Balboa » (2006) qui compose le titre de notre pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi un luxe horloger néo-vintage, un ovale qui s’étire entre hier et demain, une magistrale synthèse néo-classique, un chant du cygne et un boîtier compressé qui nous tire la langue…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 254e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Exaequo, Grand Seiko, Jaeger-LeCoultre, Le Forban Sécurité Mer, Patek Philippe, Stowa et Versace…

179e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au lieutenant Ellen L. Ripley (Sigourney Weaver) pour la citation d’un dialogue d’ « Aliens, le retour » (1986, un film de James Cameron, auteur du scénario) qui compose le titre de notre pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler du futur locataire de la Maison-Blanche, d’un quantième perpétuel couronné, de la déception des ravis de la crèche, des moteurs en panne et des fondamentaux que personne ne veut changer – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 253e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Cyrus Genève, Hackett x Bamford London, Jaeger-LeCoultre, Patek Philippe, SevenFriday, Versace et Victorinox…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 252e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bomberg, Grand Seiko, Junghans, Panerai, U-Boat, Versace et Victorinox…

178e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand philosophe et politologue français Raymond Aron (1905-1983) pour la citation de son « Spectateur engagé » (1981) qui compose le titre de notre pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une sportive chic qui fait dans la sobriété exhibitionniste, une tic-tac tactique de gendarme, une nonagénaire dans le bleu, des statistiques en toc et une rosace horlogère pour Notre-Dame… Images ci-dessous : la photoluminescence comme nouvelle avancée des beaux-arts de la montre (Bell & Ross)…

Avec le début de l’automne, on ne rigole plus : les indicateurs de l’industrie des montres sont passés au rouge et l’automne s’annonce en titubant pour cause d’état de santé économique plus que chancelant et de plus en plus précaire. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 251e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arnold & Son, Franck Muller, MeisterSinger, Urwerk, Versace, Zenith et ZRC…

Récemment présentée par Patek Philippe, la nouvelle collection Cubitus a soulevé un mémorable tsunami émotionnel : n’importe qui a pu raconter n’importe quoi n’importe où, notamment sur les réseaux numériques qui synchronisent les affects. Les « élites » (sic) de la classe parlante sont de plus en plus déconnectées des réalités…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 250e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Angelus, De Bethune, Palmos, Patek Philippe, Pequignet, Versace, et Zenith…