En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 148e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bvlgari, Citizen, L. Leroy, Louis Vuitton, Omega x Swatch, Seiko et Speake Marin…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 147e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bvlgari, Citizen, Longines, Nomos Glashütte, Omega x Swatch, Raymond Weil et Seiko…

L’horlogerie semble frappée de terrorisme intellectuel : certains esprits étroits, qui ne jurent plus par les mouvements mécaniques, ont lancé une fatwa contre les technologies alternatives, qui ne manquent pourtant pas de lettres de noblesse et qui pourraient même constituer une planche de salut.

128e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain français André Gide (1869-1951) pour la citation de ses « Nouveaux prétextes » (1911) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 146e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bremont, Frederique Constant, IWC, Laurent Ferrier, Longines, Omega x Swatch et Ralf Tech…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de techniciens de surface, d’un poing menaçant et trompeur, de la bouée du cap des Mille, de statistiques en trompe-l’œil, d’investissement dans les montres et d’ambassadeurs à la dérive – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Ainsi donc, le groupe français LVMH et le groupe français Hermès se retrouveraient face à face pour le contrôle du pôle industriel suisse Vaucher Manufacture, propriété de la fondation familiale Sandoz, qui souhaite se défaire de tous ses actifs horlogers. TSA : on sort de la rationalité économique pour entrer dans une zone de déstabilisation psychologique…

Le premier semestre 2024 s’est terminé avec une démonstration de la santé économique chancelante de l’industrie des montres. Décidément, le millésime 2024 chamboulera tout le paysage horloger : c’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers ! Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Ce n’est vraiment pas que nous en voulions particulièrement à Nick Hayek, l’animateur-actionnaire du Swatch Group : nous savons à quel point il est difficile d’être le fils d’un génie (Nicolas Hayek Senior) et à quel point il est poignant de subir l’inexorable loi de régression à la moyenne (théorisée par Galton). Simplement, en dépit de tous les enfumages, il faut bien se rendre à l’évidence : les vingt ans que Nick Hayek vient de passer à la tête de son groupe sont un désastre, que nous n’avons cessé de pointer du doigt depuis des années… Est-ce de notre faute s’il est aussi nul ?

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 145e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arnold & Son, Laventure, Omega, Panerai, Raketa, Swatch et Unimatic x Mr Porter…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 144e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Atowak, Ba111od, Diesel, Seiko, Speake-Marin, Swatch et Taos…

127e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand philosophe et moraliste français Michel de Montaigne (1533-1592) pour la citation – en français d’époque – de ses « Essais » (1580) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une légende pré-iconique de notre temps, une aventurine lunaire qui sait y faire, une aventurière sous un dôme, un régime « coup de poing » amincissant et des statistiques inquiétantes… Images ci-dessous : un style et un écrin à la Jules Verne pour une montre de voyageur transatlantique (Laventure)…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 143e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Arnold & Son, Code41, Garrick, Lip, Longines, Maurice Lacroix et Panerai…

C’est une vraie surprise de retrouver une montre oubliée depuis vingt ans. C’est un plaisir de la faire remettre à neuf. C’est un bonheur de lui trouver encore plus de charme quand on se remet à la porter…