Neuvième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une pièce par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Hublot, Junghans, Piaget, Richard Mille, Sinn, TAG Heuer et Zenith…

Mais aussi une radicalité numérique à six chiffres, un chronographe qui concentre les codes mécaniques, une sportive hybride délicieusement rétro, une bulle incertaine et une montre biologique à base de champignon… Images ci-dessous : un cadran saumon et un mouvement mécanique superlatif pour un condensé de style sportif chic (Laurent Ferrier)…

Huitième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Steve Jobs (1955-2011) pour la citation qui compose le titre de cette huitième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Cinquième Sniper de l’année 2023 : on va donc vous parler, entre autres, de gouvernance, de cyberattaques, de Monopoly chez les mécaniques et de l’art de déplaire – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. Les qualités d’un bloc-notes selon l’excellent Sylvain Tesson ? « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

Huitième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une pièce par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Hublot, Le Jour, Roger Dubuis, Seiko, Titoni, Ulysse Nardin et Zenith…

Une fois de plus, le site de « Business Montres & Joaillerie » a été la proie de cyberattaques massives, qui ont sérieusement perturbé notre agenda éditorial. Ceci alors même que nous mettions en place une architecture plus résistante à ces attaques, du fait précisément d’une première vague d’agressions numériques. Comme il n’y a rien à gagner sur ce site, ces effractions n’ont de toute évidence qu’un seul but : nous gêner, nous paralyser ou nous réduire au silence. À chacun de nos lecteurs de se demander pourquoi nous sommes, sur cette planète, le seul média horloger à subir de telles attaques – contre lesquelles nous devons nous défendre pour mener haut notre combat pour une information horlogère indépendante des groupes de pression de l’industrie horlogère. À chacun de nos lecteurs de se demander qui peut bien avoir intérêt à nous museler, et pourquoi. Nous avons sourcé ces attaques sans toutefois pouvoir établir qui avait fourni aux hackers une enveloppe de billets pour les motiver à forcer nos défenses. En attendant, dans la tempête numérique où ces agressions nous plongent, nous tenons le cap tant bien que mal : un nouveau site se met en place, plus résistant et mieux cuirassé contre tous les « méchants » Nous présentons bien entendu nos excuses à nos lecteurs pour les désagréments subis : pendant quelques jours, les articles mis en ligne seront en accès libre, de même que les chroniques qui ont précédé ces cyberattaques. Dès que le site sera opérationnellement reverrouillé contre les malfaisants, chacun pourra se reconnecter en changeant son mot de passe. Ce n’est qu’un début, le combat continue…

Septième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immortel lord Byron (1788-1824) pour la citation de son « Prometheus » (1816) qui compose le titre de cette septième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Septième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une pièce par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Accutron, Bvlgari, Casio G-Shock, Gérald Genta, Hublot, Oris et TAG Heuer…

Ouverture du premier trimestre 2023 : de nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime 2023 qui sera celui de tous les dangers, entre les conséquences imprévues et imprévisibles de la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve partout dans le monde, en remettent en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de janvier à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Sixième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand écrivain Paul Claudel pour la citation qui compose le titre de cette sixième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Sixième épisode de notre présentation des nouveautés à l’aube d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une pièce par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Bvlgari, Corum, Émile Chouriet, Herbelin, Hermès et Vero…

Mais aussi les ombres de titane d’une montre de forme, les angles roses d’une sportive chic, la nacre dorée d’une petite française, les salons du printemps horloger, les clones d’une icône et la montre des traders… Images ci-dessous : les lumières du diamant blanc et le rose d’un cadran sur fond d’acier (Zenith)…

Quatrième Sniper de l’année 2023 : on va donc vous parler, entre autres, de « ressources humaines », de la nouvelle montre de Monsieur Bond, d’illusions capsulaires, de la stratégie de la peur et de la photocopie iconique – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. Les qualités d’un bloc-notes selon l’excellent Sylvain Tesson ? « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

Cinquième séquence « Horlotainment » de l’année 2023 : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Ettore Bugatti pour la citation qui compose le titre de cette quatrième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

On y croit dur comme fer, à ces coquecigrues qui se répètent en boucle autour d’une bière dans les bistrots horlogers et autour d’une annonce dans les médias perroquets. Ce sont pourtant des croyances toxiques, qui relèvent souvent d’une myopie confondante, mais aussi parfois du désarmement moral proche de la désinformation…