La récente séquence d’enchères horlogères de Monaco (Antiquorum) était la première démonstration publique du dégonflement spectaculaire de la bulle spéculative sur le marché de la seconde main. C’était aussi la première vente de l’après-bulle – celle qui trace de nouvelles perspectives pour les montres de collection…

À Moscou, on se tord de rire : une fois passée la stupéfaction des premiers coups de canon en Ukraine et le coup d’arrêt brutal des exportations horlogères suisses vers la Russie, tout le monde s’est ravisé. Au mois de juin, on a comptabilisé 2 200 % d’augmentation pour les montres suisses officiellement importées par la Russie…

75e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Carl F. Bucherer, Casio G-Shock x Bamford, H992, Mido, Shinola, Unimatic et Yema…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immortel Charles Trenet (1913-2001) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Même s’il n’a pas encore été officiellement désigné comme nouveau préfet de police de Paris (où il remplacera le tristement célèbre Didier Lallement), Laurent Nuñez, ex-secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, est assuré d’avoir une belle montre, commandée alors qu’il était encore tenu au secret pour lutter contre les terroristes…

« Vanitas Vanitatum », nous disait déjà le « Livre de l’Ecclésiaste », plusieurs siècles avant notre ère : les montres ne sont-elles pas une expression poignante de la vanité même, d’une vanité entre toutes les vanités ? Cette « Vanitas Vanitatum » est en tout cas le nom de guerre de la Richard Mille RM 52-01, une pièce unique en saphir qui pourrait bien devenir, à Monaco, la Richard Mille la mieux adjugée de toutes les Richard Mille vendues aux enchères…

74e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Brellum, Briston, Hamilton, Hermès, Nomos Glahütte, Ulysse Nardin et Zodiac…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Johny Hallyday (1943-2017) pour la citation qui compose le titre de cette chronique : c’était une mémorable interview à l’arrivée d’une étape du Paris-Dakar. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi un touriste extraterrestre à trois yeux, une plongeuse bleue, un aventurier à quatre chiffres et des angles arrondis pour une sportive très carrée… Images ci-dessous : le grand bleu sous dôme dans son berceau de titane (Baltic)…

73e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baltic, Breitling, Fortis, Maurice Lacroix, Mr Jones, Rado et TAG Heuer…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Joseph Kessel et Maurice Druon pour leur citation du « Chant des partisans » (1943) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

72e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Armin Strom, Edox, Hamilton MeisterSinger, Ochs & Junior, Tissot et Tudor…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au pape du rock Mick Jagger pour sa citation de qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Pas question en effet de se promener n’importe où (en France comme en Europe) avec n’importe quelle montre : les malfrats sont aux aguets, avec des techniques de vol à l’arraché toujours plus brutales. Entamons donc nos « belles histoires de l’été 2022 » par le choix de la « tool watch » idéale…

71e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bell & Ross, Frederique Constant, HYT, Linde Werdelin, Roger Dubuis, Swatch et Venezianico…