Quarante-huitième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les nouvelles montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Arnold & Son, Artya, Ebel, Franck Muller, Frederique Constant, Hublot et Yema…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe de l’Antiquité Sénèque (1-65) pour sa citation des « Lettres à Lucilius) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Tout devient dangereux dès qu’on porte une belle montre, dans la rue, à la plage ou au volant d’une Formule 1 ! Tout finit par s’user, même le prestige socio-financier et l’aura statuto-culturelle des montres ! Pendant ce temps, les sanctions et le virus rongent notre belle prospérité économique post-covid…

La tectonique des plaques horlogères devrait évoluer rapidement dans les années 2020, avec un mouvement de déconsolidation et de restructuration du portefeuille de certains groupes. Ce serait un grand exercice de libération conditionnelle. Quelles marques auraient ainsi intérêt à changer d’actionnaire ?

Milieu du deuxième trimestre 2022 : de nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020 – sauf que la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve remettent en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines d’avril à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Quarante-septième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les nouvelles montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bell & Ross, IWC, Louis Moinet, Milus, Pequignet, Rado et Tissot x Bucherer…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Georges Bernanos (1888-1948) pour la citation d’une de ses conférences aux étudiants brésiliens (1944) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi quelques ritournelles galactiques, une grande fraîcheur boréale, un instrument nautique indestructible, des enchères qui vont battre des records et un shopping de luxe à la kalashnikov… Ci-dessous : une évocation microsculptée du plus célèbre chasseur de primes de la galaxie (Kross Studio)…

Démonstration de ce kalashopping – une autre manière de se faire du shopping horloger – dans une vidéo saisie sur le vif, avec un des braqueurs qui parade au centre de la rue de la Paix, kalashnikov en bandoulière, à quelques dizaines de mètres du ministère de la Justice et de la place Vendôme, au coeur de ce quartier du luxe qui fait la fierté de la capitale…

Quarante-sixième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les nouvelles montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Delma, Franck Muller, Kross Studio, Louis Érard x Alain Silberstein, Maurice Lacroix et MB&F x Reuge…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Jean-Paul Sartre (1905-1980) pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Hier, les jeunes créateurs soucieux de prendre le raccourci Kickstarter pour lancer leur marque s’efforçaient de démontrer un minimum de créativité esthétique. Aujourd’hui, ils tentent de nous prouver un maximum d’inspiration iconique…

Quarante-cinquième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les nouvelles montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Cuervo y Sobrinos, Gucci, Hamilton, Louis Vuitton, Seiko et Titoni…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à notre cher Molière (1622-1673) pour la citation de son « Tartuffe » III,3 (1664) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

La tectonique des plaques horlogères devrait évoluer rapidement dans les années 2020, avec un mouvement de déconsolidation qui permettra de restructurer le portefeuille de marques de certains groupes. Ce serait un grand exercice de libération conditionnelle. Quelles marques auraient ainsi intérêt à changer d’actionnaire ?