• REPÉRAGES #61-2022 (accès libre)
    Sept montres qui explorent de nouveaux horizons dans la mesure du temps qui passe

    Soixante-et-unième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Ataelier Haute Complication, Baume & Mercier, Jaeger-LeCoultre, MeisterSinger, Seiko, Speake-Marin et Zelos…

  • WATCH COMEDY CLUB #229
    « Il y a quelque chose de pire que d’avoir une mauvaise pensée. C’est d’avoir une pensée toute faite »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Charles Péguy pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand Richard gagne avec trente grammes et quand Charlie s’impose en trente-quatre millimètres : c’est l’actualité des montres

    Mais aussi la palette chromatique d’une plongeuse, l’or des braves horlogers indépendants, les nanobilles d’un défi post-atomique, le signe de la division d’une nouvelle marque, le rêve d’une mécanique industrielle tricolore et une compilation sport chic très réussie… Images ci-dessous : des millions de nanobilles d’acier bleui pour reconquérir le temps qui passe (De Bethune)…

  • REPÉRAGES #60-2022 (accès libre)
    Sept montres qui savent se mouiller en rêvant d’aventures dans la Lune

    Soixantième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Casio G-Shock, Charlie Paris, Cuervo y Sobrinos, Elka Watch, Franck Muller et Vincent Bérard…

  • WATCH COMEDY CLUB #228
    « Il ne peut pas y avoir de crise la semaine prochaine : mon agenda est déjà plein »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l'intelligence pétillante d'un visionnaire comme Henry Kissinger pour la citation d’une de ses interviews qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #59-2022 (accès libre)
    Sept montres qui démarrent à zéro et qui planent au-dessus des nuages avant de jeter l’ancre

    Cinquante-neuvième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Alpina, Angelus, Franck Muller, Grand Seiko, Herbelin, Raketa et Vacheron Constantin…

  • WATCH COMEDY CLUB #227
    « Qu'est-ce que le bonheur ? Le sentiment que la puissance croît, qu'une résistance est en voie d'être surmontée »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’irremplaçable Frédéric Nietzsche (1844-1900) pour la citation de ses « Aphorismes » qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • WATCH COMEDY CLUB #226
    « Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas les faire : c'est parce que nous n'osons pas les faire qu'elles sont difficiles »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe Senèque (1-65) pour la citation de ses « Lettres à Lucilius » qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand il faut savoir repartir de zéro, mais quand la mécanique voit double : c’est l’actualité pré-estivale des montres

    Mais aussi les fruits de la passion horlogère, les dieux nordiques en plongée, le bronze académique, une arnaque bien française et un parfum de café inattendu… Images ci-dessous : la complexité mécanique d’une apothéose chronographique (MB&F)…

  • REPÉRAGES #58-2022 (accès libre)
    Sept montres qui n’ont pas peur de vous en mettre plein les yeux pour imposer leur identité

    Cinquante-huitième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Bell & Ross, Hublot, Oris, Rado, Ralf Tech et Tissot…

  • WATCH COMEDY CLUB #225
    « L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au génial Frédéric Nietzsche (1844-1900) pour la citation de son « Ainsi parlait Zarathoustra » (1883) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #57-2022 (accès libre)
    Sept montres qui font entendre leur petite musique originale dans le bruit de fond horloger

    Cinquante-septième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Czapek, Franck Muller, HYT, Jaeger-LeCoultre, TAG Heuer et Vacheron Constantin…

  • BAROMONTRES 2022 #05 (mai)
    Les faits, les hommes et les marques qui ont influencé la météo horlogère de ce mois de mai 2022

    Dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de mai 2022, qui restera un étrange printemps pour l’industrie horlogère. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce premier semestre 2022 : pour le meilleur ou pour le pire ?

  • WATCH COMEDY CLUB #224
    « Les hommes n'acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise. »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à ce grand Européen qu’était Jean Monnet (1888-1979) pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

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